René Lévesque, ENDURCI par ce qu'il a vécu durant la Deuxième guerre mondiale a été recruté par un agent du nom de Robb, qui était chef du bureau montréalais de l'Office of War Information, (OWI) (2) un service de renseignement nominalement américain, mais sous contrôle britannique.
Il y a plein d'Hitlers autour de nous, des gens qui sont contre le Partage, L'Équité est le contraire de l'ÉGALITÉ: le saviez-vous, la Gratuité pour ce qui est essentiel
Rien ne doit augmenter sans suivre le POUVOIR D'ACHATS DE TOUS
Lévesque a été envoyé à New York pour rencontrer Pierre Lazareff, l'éditeur-en-chef des services français de L'OWI.
Il a été rapidement envoyé à Londres. À la fin de la guerre il avait atteint, selon lui-même, l'équivalent d'un rang de capitaine : «On était quand même parmi les gars les mieux payés.
J'avais une sorte de grade assimilée de lieutenant. Je pense que j'ai fini capitaine. Je n'étais pas capitaine en charge d'une unité, mais l'équivalent» dit René Lévesque.
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QUAND NOS ÉLUS SONT DES VENDUS ET DES MENTEURS: AVEC LEURS VISAGES DE SAINTS ET D'HUMANISTES...... MON OEIL .....
maudit qu'on se fait avoir à trop se fier aux apparences
JACQUES PARIZEAU
Jacques Parizeau, a fait ses études à Londres, en 1940
Vous voyez combien la Couronne Britannique prépare ses pions-internationaux
M. Parizeau est né à Montréal en 1930. Il a fait ses études au collège Stanislas, à l’École des hautes études commerciales de Montréal, à l’Institut d’études politiques de Paris, à la Faculté de droit de Paris et à la London School of Economics d’Angleterre, université où il obtint son doctorat en sciences économiques.
Préparant son doctorat à Paris, Jacques Parizeau épousera sans restriction, l’enseignement d’un des plus grands économistes français du siècle : François Perroux. Pour lui, une économie ne se laisse pas faire, elle se bâtit. L’influence de ce grand économiste est énorme dans la destinée de Jacques Parizeau.
Sa thèse de doctorat sera présentée à Londres et c’est à Londres que Jacques Parizeau découvre « le discours d’un chercheur qui scrute la réalité, qui essaie de comprendre les causes d’un phénomène qu’il observe. Bien documenté et doté d’une argumentation logique, il établit clairement la preuve que le prix des matières premières au Canada est une source importante de fluctuation dans son économie. » La nature spécifique de l’enseignement à la London School of Economics lui ouvre les portes d’une analyse factuelle et quantitative plutôt qu’un discours philosophique et très descriptif de l’enseignement en France. Il reviendra dans un Québec sclérosé de Maurice Duplessis des années 50. Il revient au cœur du royaume des dominés.
Jacques Parizeau, ancien Premier
Ministre du Québec, qui détient un
doctorat en économie de l'Ecole
économique de Londres
Et oui .....
Un bel exemple nous démontre que les économistes actuels ont été formés pour défendre le système des banquiers, c'est Jacques Parizeau, ancien Premier Ministre du Québec, qui détient un doctorat en économie de l'Ecole économique de Londres.
Parizeau n'accuse pas du tout le système d'argent-dette des banquiers, responsable de la dette, il accuse les retraités. Voici ses propos au sujet de la dette du Québec, tenus devant des étudiants de l'université Laval à Québec, propos rapportés par «Le Journal de Québec» le 14 février 2006:
«Au début du mois, devant un parterre d'étudiants de l'Université Laval, Jacques Parizeau avait fait une tirade fracassante, placée sous le signe de l'humour. «La dette québécoise de 120 milliards, c'est vrai que c'est beaucoup, mais là-dessus, il y a 40 milliards qui est dû au déficit actuariel des caisses de retraite des fonctionnaires (...).
«La seule façon de réduire ces 40 milliards, c'est l'assassinat (...), avait ajouté l'ancien dirigeant du Parti québécois. C'est évident qui si on tue tous les fonctionnaires retraités et leurs femmes (...) oui, on peut réduire cette dette-là. On peut laisser les enfants tranquille parce qu'ils n'héritent pas.»
Curieux..... le soi-disant souverainiste .....
Invité à Londres pour le 100e anniversaire de la prestigieuse London School of Economics, où il a obtenu son doctorat dans les années 50, M. Parizeau avait profité de son bref séjour, au mois de juillet, pour rencontrer des gens d'affaires influents ayant des liens avec le Québec ainsi que le gouverneur de la Banque d'Angleterre, feu Eddie George.
Il s'était par ailleurs rendu à la Chatham House (du Royal Institue of International Affairs) ainsi qu'au très sélect Pall Mall Club.
L'ancien député péquiste David Payne, lui-même britannique d'origine, qui avait organisé les rencontres avec le Bureau du Québec à Londres, se souvient que Jacques Parizeau était comme un poisson dans l'eau parmi ces bonzes de la haute finance et que son projet, quoique peu populaire devant une telle audience, avait été respectueusement accueilli.
Il s'était par ailleurs rendu à la Chatham House (du Royal Institue of International Affairs) ainsi qu'au très sélect Pall Mall Club. L'ancien député péquiste David Payne, lui-même britannique d'origine, qui avait organisé les rencontres avec le Bureau du Québec à Londres, se souvient que Jacques Parizeau était comme un poisson dans l'eau parmi ces bonzes de la haute finance et que son projet, quoique peu populaire devant une telle audience, avait été respectueusement accueilli. Fait cocasse de ce passage à Londres, Jacques Parizeau avait été présenté à la princesse Anne, avec laquelle il avait discuté pendant quelques minutes lors du dîner de la London School of Economics. On ne connaît pas, toutefois, la teneur de leur discussion. «M. Parizeau faisait ces voyages seul et il avait commencé dès 1976, quand il était lui-même ministre des Finances, à entretenir des liens et même des amitiés à l'étranger, raconte M. Campeau.
Je me souviendrai toujours quand Jacques Parizeau avait dit à la télé: ''Ce ne serait pas rentable pour les québécois d'imposer davantage les riches Entreprises: en fait c'est plus payant pour le Gouvernement d'imposer la classe moyenne''. . . et ce bandit d'économiste au solde de Londres voulait nous faire avaler ses mensonges..... Ce sont des criminels ces experts-menteurs!
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LA COURONNE ALLEMANDE DE LONDRES
Il a ensuite été recruté par les services Britanniques comme «journaliste» pour le service de radio international dans les bureaux montréalais de la Canadian Broadcasting Corporation (CBC). Il a été transféré au service de télédiffusion dans les années 50 et est «devenu une vedette pour les Québécois», au service de la CBC, avec son émission Point de mire. C'est à ce moment là qu'il a été «officiellement» catapulté en politique québécoise. La raison était très simple. Il fallait à tout prix enlever le pouvoir à l'Union Nationale car Daniel Johnson s'apprêtait à devenir son chef, après la mort soudaine de Maurice Duplessis et celle de Paul Sauvé.
Là-dessus, René Lévesque a joué un rôle, conscient ou non, mais vraiment dégueulasse, car il a été déployé directement contre le réseau de Daniel Johnson..... Mais si on regarde cela différemment: on peut aussi dire que la géopolitique oblige ses PIONS bourgeois à jouer aux ennemis comme diversions sociales afin que personne ne voit les évidences et que tous soient détournés des vraies priorités telles d'ÉLIMINER LA PAUVRETÉ autant dans les pays appauvris par les pays riches que la pauvreté créée par l'Élitisme dans les pays riches.
Maurice Strong, faisait lui-même partie des réseaux du Prince Philip et du Prince Berhnard, il était une des têtes dirigeantes de Power Corporation. Il en est devenu le viceprésident en 1963, après qu'il eut fait des millions sur le dos des Québécois, avec la nationalisation de l'électricité. Pour vous donner une idée de la relation entre René Lévesque et Daniel Johnson, voici une anecdote: Un jour, durant une session de l'Assemblé nationale, Lévesque dit à Johnson «vous êtes le personnage le plus vomissant que je connaisse».
Le PQ à été créé 16 jours après la mort tragique du Premier ministre du Québec, Daniel Johnson (père). Le but était simple: attirer toutes les forces nationalistes; qu'elles soient de gauche, de droite, qu'elles soient communistes, socialistes, catholiques ou maçonniques, pour ensuite les empêcher d'atteindre leur objectif. Le principe était le même. C'était le «principe de la palette-à mouches». On a tous déjà vu ça: Une languette attachée au plafond d'un chalet, enduite de colle sucrée, vers où les mouches se dirigent et y restent collées, jusqu'à ce que mort s'ensuive! Voilà pourquoi le PQ avait été créé à l'origine.
René Lévesque grandit à New Carlisle, un petit village à majorité anglophone et bourgeoise comptant à l'époque près de 1000 habitants[1] situé dans le comté de Bonaventure en Gaspésie. Sa mère est Diane Dionne-Pineault, descendante d'une lignée des seigneurs de Tilly[1], et son père est Dominic Lévesque, un avocat de la région de Gaspé. Bien que sa famille parle le français à la maison, le jeune René apprend très tôt l'anglais au contact de ses voisins, d'origine britannique ou américaine.
Correspondant de guerre
L'armée canadienne lui ayant refusé un poste d'officier, en tant que correspondant). Au début de l'année, René est engagé comme agent de liaison pour le compte de l'armée américaine et se rend à Londres, alors bombardée chaque jour par la Luftwaffe nazie. Attaché aux forces américaines, il est des campagnes militaires de France, d'Allemagne et d'Autriche. En février 1945, il devient correspondant de guerre pour les troupes du général américain George Smith Patton puis du général Alexander McCarrell Patch. Il accompagne la première unité américaine qui atteint le camp de concentration de Dachau. Il sera profondément bouleversé par ce qu'il y verra. Avec la fin de guerre, il s'installe à Montréal et devient journaliste pour Radio Canada International (RCI). Il est initialement animateur de l'émission Journalistes au micro.
Il sera de nouveau correspondant de guerre en 1952 durant la guerre de Corée. Après cet épisode, il se fait offrir une carrière de journaliste aux États-Unis, mais décide de rester au Québec.
Sachez qu'un journaliste de guerre ÇA AIME LA GUERRE: ce sont des malades prêts à mourir pour leur REINE. Et comme René Lévesque a travaillé à la radio de Londres: tous pouvons conclure qu'il était MONARCHISTE, et d'ailleurs avant de créer le Parti Québécois il était député libéral du Canada..... on est en droit de nous poser bien des questions....
En 1952, il est promu chef de service des reportages radiotélévisés à Radio-Canada. Avec la fin de la guerre de Corée, il devient animateur de l'émission de radio Au lendemain de la veille et des émissions télévisées Carrefour et Premier plan.
En 1957, il reçoit le Prix Olivar-Asselin pour sa carrière de journaliste. À cette époque, il collabore occasionnellement à la revue Cité libre, fondée par Pierre Elliott Trudeau (autre PION DE LA REINE).
Le 5 juin 1966, il est réélu député dans la circonscription de Laurier. Lors de la campagne électorale, René Lévesque, toujours fédéraliste, conteste fermement les chances du RINPierre Bourgault six ans auparavant. (Rassemblement pour l'indépendance nationale) fondé par RENÉ LÉVESQUES N'A JAMAIS ÉTÉ INDÉPENDANTISTE, et si il l'est devenu (en apparence) ce n'était que pour s'introduire, jouer à la Gauche et s'ériger en leader afin justement de neutraliser nos actions citoyennes. . . tel un bon espion de SA MAJESTÉ d'Angleterre.Et pour NEUTRALISER le parti de Borgault (le RIN), Lévesque, suite au discoursCharles de Gaulle à Montréal en 1967, René réagit et le 19 novembre 1967, René Lévesque fonda le Mouvement souveraineté-association (MSA) comme façade géopolitique faisant croire à la vocation de promouvoir sa vision d'un Québec indépendant et formellement associé au Canada dans le cadre d'une nouvelle union semblable, dans ses principes, à la Communauté économique européenne.. . et comme ces pions de Londres ont toujours réussi à nous manipuler: et bien nous y avons tous cru.... car les gens, et moi compris à cette époque, on avait pas Internet qui offre de nombreux sites à la critique, et je n'avais comme la majorité aucune connaissance de l'Histoire et des magouilles politiques qui se tramaient mondialement depuis toujours. . . Bourgault se laissa convaincre de .... Le 26 octobre, les membres du RIN votent en faveur de la dissolution de leur organisation. Quelque quinze jours plus tard, la majeure partie de ses 14 000 membres a rejoint le Parti québécois[5]. Et Bourgault (cet homosexuel de la ligne pure et dure de la Gauche..... ou pénis de gauche: c'est une farce) entra dans le parti de Lévesque.
du général Un incident malheureux fait la manchette en février 1977. Dans la nuit du 6 février, René Lévesque happe mortellement, avec sa voiture, Edgar Trottier, un sans-abri de 62 ans qui se trouvait sur la route. Certains disent que Monsieur Lévesque était en état d'ébriété cette soirée-là.
TRAÎTRE POUR SA PREMIÈRE FEMME: TRAÎTRE CONTRE LES QUÉBÉCOIS ???
Aucune accusation ne sera portée contre lui, mais René Lévesque restera marqué par l'incident. Il sera par la suite révélé que sa passagère n'était pas sa femme, mais une secrétaire du nom de Corinne Côté. Le mariage de René Lévesque se soldera alors par un divorce puis il épousera, le 12 avril 1978, Corinne Côté, fille de Roméo Côté et d'Irma Tremblay, au palais de justice de Montréal.
LA GAUCHE BOURGEOISE
1977, René Lévesque est reçu à Paris comme un chef d'État. Il rencontre le président Giscard d'Estaing à l'Élysée et celui-ci lui remet la rosette de la Légion d'honneur.
Les citoyens sont bons, ils font confiance, ils sont honnêtes et il est facile de les manipuler justement à cause de ces qualités.... Mais lorsque quelqu'un comme moi, un jour se rend compte de la duperie, là il devient ......
Que dire, aussi, de Claude Morin, l'ex-ministre du Québec sous le gouvernement Lévesque, le sale traître qui était un agent de la GRC depuis le début des années 1950 et qui est, en grande partie, responsable de la déchéance de René Lévesque et de l’espionnage que cette organisation terroriste (oui, oui, je parle de la GRC, là!) a mené auprès de René Lévesque, du Parti québécois et du mouvement indépendantiste dans les années 1950, 1960 et 1970, hein? Pour moi, les vrais organisations terroristes dans cette histoire, ce n’est pas le FLQ. Ce sont, plutôt, la GRC et le SCRS, l’organe fasciste qui a hérité du mandat d’espionnage de la GRC en 1983 par Pierre Elliott Troudeau, et ce, sous recommandation du rapport MacDonald, un ancien président du Parti libéral de l’Alberta qui s’est trouvé cette job-là pour nuire aux travaux de la Commission Keable que René Lévesque avait créé au Québec pour enquêter sur les crimes de la GRC dans l’Affaire Robert Samson. Les faits... La GRC s’est fait prendre la main dans le sac quand une de ses propre bombes a explosée à la face d’un de ses agents. Sans compter l’infiltration de manifestation en tant qu’agents provocateurs (faire du trouble pour justifier l’intervention policière). Pris les culottes baissées.
Plus ils ont de médailles et plus ils ont commis de crimes pour nos États criminels
Le fait de croire qu'il est plus économique de se servir d'hommes que de machines: ce n'est plus de l'économie, c'est de la stupidité! FAISONS TRAVAILLER LES MACHINES: PAS LES HUMAINS
Le Canada devint durant la guerre un producteur majeur de matériel pour l’effort de guerre des Alliés et de nombreux centres industriels de l’Ontario jouèrent un rôle important.
L’industrie ontarienne répondit aux besoins des forces armées canadiennes; elle produisit également des articles utilisés par la Grande-Bretagne, les autres pays du Commonwealth et les États-Unis.
En 1809, le premier BATEAU À VAPEUR canadien, l'ACCOMMODATION, est construit et lancé à Montréal par John MOLSON près de sa brasserie. Il mesure 26 m de long et transporte des passagers entre Montréal et Québec. Des moteurs à vapeur de plus grande puissance sont mis au point rapidement. Le moteur de 100 ch du Hercules, remorqueur de Montréal (1823), est le plus gros du monde à l'époque. Le bateau à aubes, le ROYAL WILLIAM, est construit à l'Anse-aux-Foulons à Québec en 1831 avec un moteur de 200 ch fabriqué à Montréal. En 1833, il est le premier navire marchand à effectuer une traversée transatlantique (de Pictou à Gravesend), en grande partie à la vapeur. Samuel CUNARD de Halifax, fondateur de la compagnie de navigation CUNARD, est l'un des propriétaires de ce navire. En plus d'être le pionnier de la construction de moteurs à vapeur pour navires, le Canada produit le premier moteur à vapeur alternatif. C'est à Fredericton au Nouveau-Brunswick qu'est construit en 1845 Le Reindeer, bateau à vapeur équipé d'un moteur à vapeur alternatif de 43 ch qui voyagera sur le fleuve Saint-Jean.
En 1917-1918, environ 60 cargos à vapeur en acier de 1700 t à 5800 t sont construits, de même que des chasseurs de sous-marins, des remorqueurs, des dériveurs et des dragueurs de mines. En raison de l'urgence de la demande, la construction de navires en bois reprend. En Colombie-Britannique seulement, 134 bateaux dont 20 goélettes en bois, 69 paquebots en bois et 45 paquebots en acier sont construits. À Montréal, Trois-Rivières, Québec et Saint-Jean, on fabrique également des paquebots en bois. On construit par moitiés quelques bateaux en acier sur les Grands Lacs, puis on les fait passer dans les canaux du Saint-Laurent et on les assemble à Montréal.
La réponse du Canada aux Alliés qui demandent des navires de guerre au début de la Deuxième Guerre mondiale est immédiate, efficace et s'effectue sur une plus grande échelle que lors de la Première Guerre. Cette rapide expansion, sous la supervision du ministère de l'Armement et de l'Approvisionnement, est dirigée par un groupe de constructeurs et d'architectes navals qui résident au Canada, par une délégation de constructeurs navals envoyés par l'Amirauté britannique et par des cadres expérimentés qui proviennent d'autres industries canadiennes et qui sont recrutés jusqu'à la fin de la guerre. La production de guerre culmine en 1943 et, même si pendant une certaine période elle réussit tout juste à remplacer les navires coulés, elle atteint un point où elle doit ralentir progressivement à cause d'un surplus de navires.
Au plus fort de la production, 7 chantiers navals construisent des navires de 10 000 t, 3 produisent des navires de 4 700 t, 10 participent à des travaux maritimes et 62 fabriquent des remorqueurs, des allèges et des péniches de débarquement. Au total, 398 navires marchands et 393 vaisseaux de guerre sont construits, surtout des corvettes, des dragueurs de mines, des frégates et quelques destroyers. Les cargos sont exploités par la Park Steamship Co., une société de la Couronne.
Les chantiers navals canadiens se spécialisent dans la construction de bateaux de haute qualité pour le transport intérieur et côtier et de navires de service et de guerre pour le gouvernement.
Depuis la guerre, la construction navale se maintient à un niveau acceptable. Le rôle du Canada au sein de l'OTAN dans la chasse aux sous-marins et dans les missions d'escorte est assumé par des projets de construction de destroyers. De la classe du navire Tribal à la fin de la guerre, à celle du Saint-Laurent, navire-escorteur de conception canadienne des années 50 qui fait l'envie des flottes étrangères, on constate un bond extraordinaire dans la conception et la construction navales. Viennent ensuite la classe Mackenzie des années 60, puis la nouvelle classe Tribal et enfin les 12 frégates de patrouille canadienne (FPC) de classe City, qui sont actuellement en construction. On construit également divers types de vaisseaux de guerre, allant du dragueur de mines en bois et aluminium au navire de ravitaillement comme le Provider.
La réparation de navires est un service essentiel là où les navires font la navette et, en tant que pays exportateur, le Canada a l'obligation de rendre un tel service. La localisation des bassins de radoub et des ateliers de réparation sur les côtes canadiennes répond aux exigences stratégiques de la navigation. Les installations de réparation fournissent des emplois à la majeure partie de la main-d'oeuvre spécialisée, aux dirigeants et aux fournisseurs de la construction navale pendant les périodes creuses entre les contrats de construction.
Les quais de radoub les plus importants de la côte ouest sont situés près de Yarrows Ltd à Esquimalt et dans le port de Vancouver pour le Burrard Dry Dock. Sur la côte est, on trouve à Halifax un quai flottant d'une capacité de 36 000 t et le Saint John Shipbuilding & Dry Dock Co. Ltd. qui, lors de sa construction en 1914 et pendant les 40 années suivantes, était le plus grand du monde. Lauzon possède un grand quai, et Montréal, un quai flottant semblable à celui d'Halifax.
La demande de navires pour le transport d'armes et d'équipement durant la Première Guerre mondiale incite la COMMISSION IMPÉRIALE DES MUNITIONS à commander de nombreux navires aux chantiers navals canadiens.
La reine Élisabeth 1 et son mari le roi Georges V1 avec le Pape Jean XX111 Ils sont COUPABLES de 150 millions de morts par leurs grippe espagnole qui sortait de leurs labos militaires durant leur Première Guerre Mondiale. Puis ils ont fait tuer plus de 6 millions de Juifs durant leur Deuxième Guerre Mondiale, et..... ils continuent à travers leurs Descendants et Héritiers ......
CES INSENSIBLES SONT DANGEUREUX, ILS TUENT LES PAUVRES QUE LEURS HIÉRARCHIES CRÉENT
CONTRÔLE DÉMOGRAPHIQUE EN TUANT DES POPULATIONS-CIBLES
Ces faiseurs de conflits et de guerres que pour leurs avantages et pour conserver leurs privilèges.
La gestion de la censure par les États et, de manière nettement plus significative, par ses alliés de Londres et Washington.
D’ailleurs, pratiquement intégrés de fait aux forces armées, les reporters de guerre en uniforme et à la merci de l’armée canadienne pour leurs déplacements et leur subsistance en campagne étaient les agents minutieusement contrôlés d’un effort de guerre qui dépendait largement de l’adhésion civique à l’effort de guerre national, et ce, d’autant plus que l’enthousiasme des Canadiens francophones pour cette cause était quelque peu incertain.
Les censeurs militaires étaient bien décidés à préserver le front de l’arrière des nouvelles dérangeantes.
Durant cette Seconde Guerre Mondiale, les premières nouvelles du raid qui ont été communiquées au public britannique faisaient état d’un grand succès et, par-dessus tout, d’un triomphe pour la RAF. Toute mention de pertes canadiennes ou de la moindre participation du Canada a été supprimée par les censeurs.... Et les autorités canadiennes ont adroitement neutralisé toutes les tentatives des correspondants de guerre de rencontrer des survivants canadiens du débarquement de Dieppe.
Quiconque connaît l’histoire des correspondants de guerre durant la guerre de 1914-1918 ne s’étonnera pas des problèmes vécus en 1939-1945. Parfaitement au courant des reproches lancés par les journalistes aux stratèges militaires britanniques durant les guerres de Crimée et d’Afrique du Sud, le War Office avait déjà préparé sa riposte quand Joffre, le commandant
en chef français, chassa tous les journalistes des champs de bataille. L’armée britannique le déjoua en faisant d’un officier d’Étatmajor un correspondant de guerre. Le colonel Ernest Dunlop Swinton, auteur de récits d’aventures pour les garçons, devait rédiger un communiqué quotidien signé « Eye-Witness » afin de fournir au public britannique toutes les nouvelles que l’armée jugeait bon de divulguer. Officier du génie, Swinton avait déjà conçu l’idée d’un véhicule blindé à chenilles pour détruire les mitrailleuses sur le champ de bataille.
Évidemment, les accomplissements canadiens étaient rarement à l’honneur dans ces textes prudents de quelques milliers de mots produits au jour le jour par Swinton, tous empreints du flegme traditionnel cher aux officiers britanniques. Par conséquent, Ottawa attribua le même rôle à un correspondant canadien. Dans le Canada d’avant-guerre, Max Aitken avait été un jeune prodige de la nouvelle industrie des fusions et acquisitions, y gagnant des fortunes. Quand il avait quitté le Canada pour l’Angleterre en 1910, ses critiques avaient prétendu qu’il fuyait de vagues accusations de magouillages financiers. Néanmoins, Aitken avait prévu de revenir au moment des prochaines élections et de conquérir un siège pour les Conservateurs de sir Robert Borden. En Grande-Bretagne, il avait vite gagné un siège au sein de la députation parlementaire des Tories avant de se jeter à corps perdu dans la lutte politique à Londres. Aitken était un tenant convaincu de l’Empire britannique et un ami fidèle d’un impérialiste aux opinions encore plus 570 revue d’histoire de l’amérique française affirmées, le colonel Sam Hughes, d’abord ministre de la Milice et de la Défense du gouvernement Borden après 1911, puis l’architecte du corps expéditionnaire canadien outre-mer en 1914. Les avantages d’être le témoin oculaire de la guerre pour le Canada étaient évidents pour Aitken, marginalisé par son exil, mais les avantages d’avoir un ami comme seul chroniqueur des exploits militaires canadiens en France n’échappèrent pas non plus à Hughes. Ces avantages devinrent particulièrement évidents après que le contingent canadien eût perdu 12 000 combattants durant la deuxième bataille d’Ypres en avril-mai 1915. Un reporter honnête aurait pu gloser sur le fusil Ross, manufacturé à Québec et soutenu avec ardeur par Hughes, mais abandonné par de nombreux soldats canadiens quand il s’enraya dans la boue des Flandres, ne réussissant pas l’épreuve du feu. Sous sa jaquette jaune, le compte rendu de Max Aitken, Canada in Flanders, transforma le désastre en un triomphe de la vaillance canadienne face aux Allemands qui avaient odieusement employé du chlore gazeux contre des Canadiens sans protection. Les statistiques officielles rapportent seulement trois gazés canadiens morts durant la bataille (et sept seulement parmi les deux divisions françaises attaquées de la même façon). La version héroïque et triomphaliste de Max Aitken est restée plus satisfaisante pour les Canadiens que la honte d’avoir envoyé des soldats mal commandés, mal entraînés et épouvantablement mal armés risquer leurs vies.
Ll’essence même de la politique des Libéraux au Canada était de ne pas trahir le moindre signe de planification ou de préparation en vue d’une nouvelle guerre européenne.
Décidé à ne pas
servir dans une armée qui prêtait serment à un souverain britannique, René Lévesque se porta volontaire pour travailler avec l’American Office of War Information, accumulant de l’expérience personnelle et professionnelle en servant comme correspondant de guerre étatsunien.... MAIS POSSIBLE QUE RENÉ LÉVESQUE IGNORAIT QUE LES ÉTATS-UNIS ÉTAIT LA TENTACULE MAÎTRESSE DE LONDRES mais je doute car durant la cruauté de ces guerres ''PERSONNE NE VIVAIT LIBRE DE SES IDÉES ET DE SES AGISSEMENTS'' et non plus René Lévesque.
L'Hydro Québec de René Lévesque c'est quoi ? Une société de production et de prolétaristes.