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samedi 27 août 2011

S'AMÉLIORER : COMMENT

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SOCIOPATHES sont souvent choisis pour devenir des ÉLUS ou appartenir à des Confréries

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Leur retour triomphal aux nobles valeurs du cannibalisme : clergé, noblesse, bourgeoisie et université


L’HEMOPHAGIE

Le cannibalisme du sang (hémophagie) fut de tous les temps et de tous les lieux.

Les prêtres des Mochicas du Pérou (200 av. J.-C. à 700 apr. J.-C. environ) pratiquaient des sacrifices humains : ils égorgeaient les victimes, collectaient leur sang dans des bols et le buvaient.

Dans la Rome impériale, il arrivait que des spectateurs se précipitassent dans l'arène pour boire le sang des gladiateurs morts ; ce sang était censé guérir les épileptiques et porter bonheur si l’on y trempait les cheveux.

Sous la Révolution française le sang des aristocrates guillotinés fut parfois offert aux pauvres comme boisson reconstituante et il est attesté que des enragés dévorèrent le foie de leurs victimes lors des massacres de septembre 1792.
En mars 1883, Alferd Packer, accusé d'avoir consommé la chair de ses cinq camarades dans les montagnes rocheuses du Colorado où leur expédition s'était perdue, fut condamné à la peine de mort pour cannibalisme. Sa sentence fut commuée en 40 ans de prison par la Cour suprême des États-Unis d'Amérique en 1886. Packer devint, paraît-il, végétarien et s'éteignit en prison le 24 avril 1907.

« Tous les mythes d'origine et de légitimation de la royauté dans le Pacifique sont fondés sur le cannibalisme et l'inceste commis par les dieux. D'ailleurs, c'est la même chose pour ceux de la civilisation de la Grèce antique. Et cela ne nous empêche pas de l'admirer et de la considérer comme les racines de la nôtre ! » Dans l'un des premiers épisodes de « La théogonie » d'Hésiode, véritable scénario de la création du monde selon les Grecs, le dieu Cronos, qui, avec la complicité de sa mère Gaia, avait émasculé son détesté père Ouranos, une fois devenu lui-même reproducteur, redoutait de subir le même sort. Il prit donc, au grand désespoir de son épouse Rhéa, les devants en dévorant ses propres enfants dès leur venue au monde.

Le cannibalisme serait l'inévitable conséquence de la misère économique et physiologique dans laquelle sont plongées beaucoup de populations et aussi et surtout les conséquences des rituels religieux des classes bourgeoises, rituels dirigés par des sorciers/prêtres, des druides conseillers des rois et des reines, et .....

CITATIONS

Les habitants de la Terre de Feu ont été soupçonnés avec raison de cannibalisme ; ils sont dans l'usage de tuer leurs plus vieilles femmes, pour les dévorer, lorsqu'ils craignent de manquer de vivres. (François de Lacroix 1582-1644)

Un cannibale est un homme qui aime son prochain avec de la sauce. (Jean Rigaux 1909-1991)

LE CANNIBALISME EST UN VICE DES CLASSES BOURGEOISES..... Une connaissance plus approfondie des populations dites sauvages a prouvé qu'elles ont d'autres ressources que la chasse, la pêche et la cueillette. Presque toutes pratiquent l'horticulture. Les plus cannibales d'entre elles élèvent des animaux domestiques comme le porc et la chèvre. Si le cannibalisme provenait de la rareté des subsistances, il devrait être au minimum là où abondent les fruits spontanés du sol et au maximum dans les régions polaires, où l'homme ne vit que des produits de sa chasse et de sa pêche. Or le contraire est vrai. Les Eskimo sont à peu près étrangers au cannibalisme, qui est extrêmement développé dans les régions forestières de l'Afrique et de l'Amérique, où foisonnent le gibier et les fruits.



Les Dirigeants Internationaux ont toutes les caractéristiques des SOCIOPATHES

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''LE CORPS ET LE SANG DU CHRIST: BUVEZ-EN TOUS, CECI SERA LE SCEAU DE L'ALLIANCE (DIABOLIQUE) ÉTERNELLE..... EN RÉMISSIONS DE VOUS PÉCHEURS

: Mt: 26/26-29

26 26 Or, tandis qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain, le bénit, le rompit et le donna aux disciples en disant: "Prenez, mangez, ceci est mon corps."
26 27 Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant: "Buvez-en tous;
26 28 car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés.
26 29 Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce produit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai avec vous, nouveau, dans le Royaume de mon Père."
22 17 Puis, ayant reçu une coupe, il rendit grâces et dit: "Prenez ceci et partagez entre vous;
22 18 car, je vous le dis, je ne boirai plus désormais du produit de la vigne jusqu'à ce que le Royaume de Dieu soit venu."
22 19 Puis, prenant du pain, il rendit grâces, le rompit et le leur donna, en disant: "Ceci est mon corps, donné pour vous; faites cela en mémoire de moi."
22 20 Il fit de même pour la coupe (jus de raisin et non du vin car il ne voulait plus boire le produit fermenté de la vigne) après le repas, disant: "Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang, versé pour vous.

Saint Jean : le pain de vie

Discours de Jésus sur le pain de vie (CANNIBALISME: du symbolisme à la réalité actuelle)

6 51 Je suis le pain vivant, descendu du ciel. Qui mangera ce pain vivra à jamais. Et même, le pain que je donnerai, c'est ma chair pour la vie du monde."
6 52 Les Juifs alors se mirent à discuter fort entre eux; ils disaient: "Comment celui-là peut-il nous donner sa chair à manger?"
6 53 Alors Jésus leur dit: "En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme et ne buvez son sang, vous n'aurez pas la vie en vous.
6 54 Qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle et je le ressusciterai au dernier jour.
6 55 Car ma chair est vraiment une nourriture et mon sang vraiment une boisson.
6 56 Qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi et moi en lui.
6 57 De même que le Père, qui est vivant, m'a envoyé et que je vis par le Père, de même celui qui me mange, lui aussi vivra par moi.




SOCIOPATHES royaux :
--- Ils n'ont aucune conscience
--- Ils n'ont aucun remord
--- Ils sont aspergers car INSENSIBLES aux humains
--- Ils sont pires que les autistes
--- Ils sont dysphasiques (déconnecté de la réalité qui est NOUS
--- ..............

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Il faut vraiment être malades pour vouloir s'élever au-dessus des autres et non AVEC les autres


Pourtant, depuis Freud, il est admis que l'anthropophagie est, avec l'inceste et le parricide, l'un des trois interdits fondamentaux de l'espèce humaine. Erreur, s'insurge l'écrivain Martin Monestier. Dans son stupéfiant livre « Cannibales : histoire et bizarreries de l'anthropophagie, hier et aujourd'hui « (2), il montre à l'envi, par le texte et l'iconographie, que ce tabou-là n'a cessé, et ne cesse, d'être allègrement transgressé par les hommes depuis la nuit des temps. « Tout au long des siècles, écrit-il, se profile le cannibalisme alimentaire, tantôt de pénurie, tantôt gastronomique. Le cannibalisme guerrier tend à s'accaparer les vertus de l'adversaire ; le cannibalisme sacré veut imiter les dieux ou évoquer les ancêtres ; le cannibalisme médical espère protéger les vivants ; le cannibalisme de vengeance désire humilier en rendant son ennemi à l'état de viande de boucherie ; le cannibalisme judiciaire sert à rétablir l'ordre social ; le cannibalisme érotique s'introduit dans les plaisirs de l'amour pour stimuler la volupté. Et le cannibalisme pathologique serait la matérialisation du fantasme anthropophagique agitant chaque individu dans toutes les sociétés.http://nsa27.casimages.com/img/2011/08/27/110827075227915918.gif

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Le cannibalisme tire son son origine d'une passion, de l'embourgeoisement de certains dans des gamiques qui faisaient et qui font encore des PACTES DE SANGS ET..... L'usage est d'exclure du banquet anthropophagique les femmes et les enfants pour en faire un privilège sacerdotal et aristocratique.











Attention aux âmes sensibles, ne regardez pas cette photo où la reine montre un regard diabolique




Le progrès des techniques de laboratoire, notamment le microscope électronique à balayage, ont permis de montrer que de nombreux os humains fossiles portaient les traces d'un dépeçage réalisé avec des outils de pierre. Ainsi, sur le site de Krapina, en Croatie, où vivaient des néandertaliens, une bonne partie des quelque 800 os humains découverts avaient, sans conteste, été incisés (pour en détacher les chairs ?), brisés (pour en extraire la délicieuse moelle ?) ou brûlés (à l'issue d'un barbecue ?






























Voici des photos très révélatrices .... jugez-en par vous-mêmes .....




































Est-ce la reine grand-mère, Mary? .... car ce matriarcat mafieux britanno/germano/Italo/Espano/Franco.... semble dirigé par les plus Anciens qui supervisent les jeunes rois et reines et ce jusqu'à la mort des Anciens tout comme les Druides le faisaient


Le guerrier mange le vaincu

Le guerrier mange le vaincu, surtout son foie ou son coeur, organes où siège le courage, pour s'en attribuer les vertus et, au passage, humilier sa tribu. Une pratique qui plonge ses racines dans l'universel - et toujours d'actualité - principe d'incorporation. L'(h)omnivore est persuadé qu'il devient ce qu'il mange : il a un sang de navet s'il abuse de ce légume, il se refait du sang en mangeant de la viande rouge, il se sent génétiquement manipulé s'il ingurgite des OGM, il ne fait qu'un avec ses ancêtres s'il les boulotte en famille après leur mort. C'est également ce principe d'incorporation que l'on retrouve, dans la religion catholique, dans le sacrement central de la communion (voir encadré).

L'exocannibalisme est le fait de manger réellement ou symboliquement la chair d'un ennemi ; il exprime la férocité, la revanche et l’appropriation des qualités guerrières de l’adversaire : la bravoure et la force notamment.

Du détroit de Béring à la Terre de Feu, la pratique rituelle du cannibalisme, essentiellement de vengeance, était monnaie courante. Pour s'en convaincre, lire l'extraordinaire « Relation véridique et précise des moeurs et coutumes des Tupinamba » (4), de l'arquebusier Hans Staden.

Ce mercenaire allemand du XVIe siècle, qui fut capturé sur le littoral atlantique du Brésil par cette tribu, dut, en arrivant au village d'Ubatuba - la coutume, c'est la coutume - annoncer lui-même : « C'est moi qui arrive, moi votre nourriture... »

Durant neuf longs mois, il a vécu la chronique d'une dévoration annoncée. La sienne. Avant d'être racheté, in extremis, par des marins français, il eut tout loisir d'observer en direct les étapes de ce rituel destiné à venger les morts de la tribu. Plusieurs autres prisonniers subirent, en effet, ce sort durant sa propre captivité. « J'ai vu toutes ces cérémonies et j'y ai assisté », dit-il. Ces scènes, il les a même dessinées dans son livre. A l'issue des cérémonies, auxquelles le futur plat de résistance participe de bout en bout, l'exécuteur s'approche du prisonnier et lui dit, rapporte Staden : «"Me voici ! je viens pour te tuer ; car les tiens ont tué et dévoré un grand nombre des miens." Le prisonnier lui répond : "Quand je serai mort, mes amis me vengeront." Au même instant, l'exécuteur lui assène sur la tête un coup qui fait jaillir la cervelle. Les femmes s'emparent alors du corps, le traînent auprès du feu... »


Les rites de la chair

Le Point - Publié le 12/05/2000 à 18:25 - Modifié le 16/01/2007 à 18:25

Pourtant, depuis Freud, il est admis que l'anthropophagie est, avec l'inceste et le parricide, l'un des trois interdits fondamentaux de l'espèce humaine. Erreur, s'insurge l'écrivain Martin Monestier. Dans son stupéfiant livre « Cannibales : histoire et bizarreries de l'anthropophagie, hier et aujourd'hui « (2), il montre à l'envi, par le texte et l'iconographie, que ce tabou-là n'a cessé, et ne cesse, d'être allègrement transgressé par les hommes depuis la nuit des temps. « Tout au long des siècles, écrit-il, se profile le cannibalisme alimentaire, tantôt de pénurie, tantôt gastronomique. Le cannibalisme guerrier tend à s'accaparer les vertus de l'adversaire ; le cannibalisme sacré veut imiter les dieux ou évoquer les ancêtres ; le cannibalisme médical espère protéger les vivants ; le cannibalisme de vengeance désire humilier en rendant son ennemi à l'état de viande de boucherie ; le cannibalisme judiciaire sert à rétablir l'ordre social ; le cannibalisme érotique s'introduit dans les plaisirs de l'amour pour stimuler la volupté. Et le cannibalisme pathologique serait la matérialisation du fantasme anthropophagique agitant chaque individu dans toutes les sociétés. »

« Ainsi fut sauvé Zeus... »

Loin d'être l'apanage de quelques rares assassins hors normes - comme le Japonais Issei Sagawa qui, à Paris, en 1981, eut, pour sa petite amie néerlandaise, une passion littéralement dévorante, ou, pis, comme les Américains Ottis Tool et Henry Lee Lucas, qui, chacun de leur côté puis en couple, tuèrent de 160 à 180 personnes, dont ils goûtèrent la chair dans les années 70, ou encore comme Andreï Tchikatilo, le « boucher de Rostov » qui, avant d'être arrêté en 1990, avait tué et ingéré au moins 52 victimes -, l'anthropophagie fait partie intégrante de l'histoire de l'humanité.

C'est si vrai que, dans de multiples sociétés, les mythes de la création font peu ou prou référence à la transgression de nombreux tabous dont, en premier lieu, celui qui frappe l'anthropophagie. Exemple donné par le préhistorien Daniel Frimigacci (voir « L'odyssée de l'espèce », Le Point n° 1377) : « Tous les mythes d'origine et de légitimation de la royauté dans le Pacifique sont fondés sur le cannibalisme et l'inceste commis par les dieux. D'ailleurs, c'est la même chose pour ceux de la civilisation de la Grèce antique. Et cela ne nous empêche pas de l'admirer et de la considérer comme les racines de la nôtre ! »

Dans l'un des premiers épisodes de « La théogonie » d'Hésiode, véritable scénario de la création du monde selon les Grecs, le dieu Cronos, qui, avec la complicité de sa mère Gaia, avait émasculé son détesté père Ouranos, une fois devenu lui-même reproducteur, redoutait de subir le même sort. Il prit donc, au grand désespoir de son épouse Rhéa, les devants en dévorant ses propres enfants dès leur venue au monde. A la naissance de son sixième bébé, Rhéa prit une pierre, l'enveloppa de langes et la donna à Cronos qui l'avala sans se douter du subterfuge. « Ainsi fut sauvé Zeus, le futur roi des dieux », constate Jacques Lacarrière dans « Au coeur des mythologies » (3).

Quelque 800 os humains

Du mythe à la pratique, il n'y a qu'un pas que nos ancêtres les hommes de Neandertal et de Cro-Magnon ont, apparemment, franchi. Depuis la fin des années 70, la précision des fouilles comme le progrès des techniques de laboratoire, notamment le microscope électronique à balayage, ont permis de montrer que de nombreux os humains fossiles portaient les traces d'un dépeçage réalisé avec des outils de pierre. Ainsi, sur le site de Krapina, en Croatie, où vivaient des néandertaliens, une bonne partie des quelque 800 os humains découverts avaient, sans conteste, été incisés (pour en détacher les chairs ?), brisés (pour en extraire la délicieuse moelle ?) ou brûlés (à l'issue d'un barbecue ?).

Les artistes de Lascaux et de la grotte Chauvet ne furent pas en reste. Ils ont laissé derrière eux quantité d'ossements de Cro-Magnon ayant subi les mêmes outrages que ceux qu'infligeait Neandertal à Neandertal. Ces hommes du paléolithique perpétuaient ainsi la tradition déjà ancienne du repas cannibale inaugurée par Homo erectus, beaucoup plus primitif, qui vivait à Tautavel, dans le sud de la France, trois cent mille ans avant eux.

Et pourtant, à l'époque, les néandertaliens furent les premiers humains à enterrer leurs morts. Mais peut-être ne considéraient-ils comme véritablement humains que les seuls membres de leur tribu... Après tout, cela se passait ainsi il n'y a pas si longtemps dans de nombreuses sociétés traditionnelles et en Europe au temps de Christophe Colomb, comme en témoigne la controverse de Valladolid sur l'humanité des Indiens Caraïbes. Quoi qu'il en soit, le plus naturellement du monde, sans que la plupart du temps entre dans cette pratique une quelconque perversion, l'Homme avec un grand H a mangé de l'homme avec un h minuscule, démontre Martin Monestier en insatiable comptable des bizarreries de notre étrange espèce.

Le guerrier mange le vaincu

L'Homme mange de l'homme par nécessité, comme sur le radeau de la « Méduse » en 1816, lors de la grande sécheresse de 1922 en Russie, durant le siège de Leningrad en 1941 ou, en 1972, après un accident d'avion dans la cordillère des Andes. Les trente survivants du crash, dont une équipe de rugby uruguayenne, survécurent ainsi soixante-dix jours durant par - 40 °C avant d'être secourus...

Cette anthropophagie de survie, même si elle soulève des haut-le-coeur, est comprise et absoute par l'opinion publique, les tribunaux et les Eglises. Les marins naufragés de la « Felicia » en 1875, de la « Victoria » en 1884, du « Britannia » en 1885, qui ont, comme dans la chanson, mangé leur mousse, ont par la suite été relaxés par les tribunaux, constate Martin Monestier.

Le guerrier mange le vaincu, surtout son foie ou son coeur, organes où siège le courage, pour s'en attribuer les vertus et, au passage, humilier sa tribu. Une pratique qui plonge ses racines dans l'universel - et toujours d'actualité - principe d'incorporation. L'(h)omnivore est persuadé qu'il devient ce qu'il mange : il a un sang de navet s'il abuse de ce légume, il se refait du sang en mangeant de la viande rouge, il se sent génétiquement manipulé s'il ingurgite des OGM, il ne fait qu'un avec ses ancêtres s'il les boulotte en famille après leur mort. C'est également ce principe d'incorporation que l'on retrouve, dans la religion catholique, dans le sacrement central de la communion (voir encadré).

Lorsque les Européens, dans le sillage des Vasco de Gama et autres Colomb, se lancèrent à la découverte mercantile du monde dans le bruit des armures, le feu des mousquets et la fureur des massacres, ils découvrirent avec stupeur que, aux Amériques, en Afrique et en Océanie, le cannibalisme, dont on ne connaissait en Occident que les versions mythiques et de survie, était couramment pratiqué au grand jour, sans honte ni perversité excessive. Le terme « canibal », francisé en « cannibale », a d'ailleurs été créé au XVIe siècle par les explorateurs espagnols à partir du mot « caribal » qui, dans la langue des habitants des Caraïbes, signifie « hardi », et non pas mangeur de chair humaine.

Du détroit de Béring à la Terre de Feu, la pratique rituelle du cannibalisme, essentiellement de vengeance, était monnaie courante. Pour s'en convaincre, lire l'extraordinaire « Relation véridique et précise des moeurs et coutumes des Tupinamba » (4), de l'arquebusier Hans Staden.

Ce mercenaire allemand du XVIe siècle, qui fut capturé sur le littoral atlantique du Brésil par cette tribu, dut, en arrivant au village d'Ubatuba - la coutume, c'est la coutume - annoncer lui-même : « C'est moi qui arrive, moi votre nourriture... »

Durant neuf longs mois, il a vécu la chronique d'une dévoration annoncée. La sienne. Avant d'être racheté, in extremis, par des marins français, il eut tout loisir d'observer en direct les étapes de ce rituel destiné à venger les morts de la tribu. Plusieurs autres prisonniers subirent, en effet, ce sort durant sa propre captivité. « J'ai vu toutes ces cérémonies et j'y ai assisté », dit-il. Ces scènes, il les a même dessinées dans son livre. A l'issue des cérémonies, auxquelles le futur plat de résistance participe de bout en bout, l'exécuteur s'approche du prisonnier et lui dit, rapporte Staden : «"Me voici ! je viens pour te tuer ; car les tiens ont tué et dévoré un grand nombre des miens." Le prisonnier lui répond : "Quand je serai mort, mes amis me vengeront." Au même instant, l'exécuteur lui assène sur la tête un coup qui fait jaillir la cervelle. Les femmes s'emparent alors du corps, le traînent auprès du feu... »

Le festin des nobles

A Wallis-et-Futuna, jusqu'il y a peu, l'Homme mangeait l'homme pour consolider l'institution sociale. Les humains y étaient classés en deux catégories : les nobles, qui, comme chacun sait, sont habités par les dieux, et les autres... Pour nourrir ces dieux intérieurs, lors des fêtes de la récolte ou pour l'intronisation des chefs, il fallait manger de la chair humaine, en l'occurrence soit des prisonniers de guerre, soit les « autres ». Par exemple des voisins imprudemment égarés sur le territoire de la tribu, et même des morts, ou les « non-nobles » de son propre groupe. Pour éviter les abus, germes des pénuries futures, les chefs devaient parfois aller jusqu'à fermer la chasse à l'homme, comme ils le faisaient pour la cueillette des fruits.


La question du philosophe des Lumières reste d'actualité, affirme Martin Monestier, qui précise : « A l'heure actuelle, on assiste partout à une résurgence du cannibalisme sous toutes ses formes. Principalement rituel en Afrique et en Amérique du Sud, pathologique et criminel en Amérique du Nord, criminel et de subsistance en Europe de l'Est et en Asie. » Le pervers et sadique Hannibal Lecter est en bonne compagnie..... Et surtout toutes ces Sectes, ces Clubs, ces Clans, ces CONFRÉRIES et autres SOCIÉTÉS SECRÈTES et qui opèrent encore des rituels ancestraux pour s'obliger au silence et.....

VAMPIRISME DES CLASSES BOURGEOISES DÉVIANTES ET SANS MORALE

En 1901, dans une thèse soutenue à la faculté de médecine de Lyon, le futur Dr Alexis Epaulard utilisa pour la première fois le terme de "vampire", non pas pour désigner un buveur de sang mais un nécrophile : Victor Ardisson, le "vampire" de Muy.
On a longtemps employé le terme de « vampire » pour des malades se livrant à des actes de nécrophilie, de nécrosadisme voir de nécrophagie, bien que, pour des raisons évidentes, il n’y eut pas, dans ces cas, de succion de sang. À l’inverse, certains individus, tels que les vampires de Hanovre, de Düsseldorf, de Londres et de Nuremberg, ont une fascination réelle pour le sang et non la mort

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Cannibalisme

De nombreux rapports écrits et témoignages rassemblés par la section australienne pour les crimes de guerre du tribunal de Tokyo, examinés par le procureur William Webb (futur juge en chef), montrent que des Japonais ont commis dans plusieurs parties de l’Asie ou du Pacifique des actes de cannibalisme contre des prisonniers de guerre alliés ou des populations civiles. Dans certains cas, ces actes furent le résultat de l’accroissement des attaques alliées sur les lignes de ravitaillement japonaises et des décès et des maladies frappant les soldats japonais en raison de la famine qui s’ensuivit. Toutefois, selon l’historien Yuki Tanaka, « le cannibalisme était souvent une activité systématique menée par des compagnies entières agissant sous le commandement d’officiers10. »

Dans certains cas, la chair était prélevée sur des personnes en vie : un prisonnier indien, le Lance Naik Hatam Ali (qui devait plus tard devenir citoyen pakistanais) témoigna qu’en Nouvelle-Guinée :

« Les Japonais commencèrent à sélectionner les prisonniers et chaque jour un prisonnier était tué et mangé par les soldats. J’ai vu cela personnellement et près de 100 prisonniers furent tués et mangés par les soldats à cet endroit. Ceux d’entre nous qui restaient furent emmenés à un autre endroit situé à 80 km où dix prisonniers moururent de maladie. À cet endroit, les Japonais recommencèrent à sélectionner des prisonniers en vue de les manger. Ceux qui étaient sélectionnés étaient amenés dans une hutte où leur chair était prélevée sur leurs corps alors qu’ils étaient encore en vie. Ils étaient ensuite jetés dans un fossé où ils finissaient par mourir »11

L'un des officiers connus le plus élevé en grade à avoir été convaincu de cannibalisme fut le Lt. Général Yoshio Tachibana qui, avec onze autres soldats japonais fut jugé pour l’exécution d’aviateurs de l’U.S. Navy et le cannibalisme perpétré sur au moins un d’entre eux en août 1944 sur l’île de Chichi Jima dans l'archipel d'Ogasawara. Ils furent décapités sur les ordres de Tachibana. Comme les lois militaires et internationales ne contenaient pas de dispositions spécifiques au cannibalisme, ils furent jugés pour meurtre et « refus d'une sépulture honorable ». Tachibana fut condamné à mort12.

L'endocannibalisme, pratique funéraire, est le fait d’ingérer les restes d’un parent décédé.

Certains réduisent en poudre les ossements d'un défunt auxquels ils ajoutent de la bière de manioc, et font boire cette mixture aux proches parents. Les ossements sont censés contenir les éléments vitaux de l'esprit de la personne morte qui sont ainsi transmis aux consommateurs.
D’autres ingèrent seulement le cerveau et/ou le cœur, sièges supposés de l’âme du disparu.
Il est avéré que certaines Chinoises mangent leur embryon ou leur foetus après une fausse couche. Il n’est pas exclu que cette pratique soit plus répandue dans le monde qu’on n’ose le croire.

Après la Première Guerre mondiale, William Buehler Seabrook, journaliste au New York Times, voyagea en Afrique où il s’interrogea sur le cannibalisme. Il finit par rencontrer une tribu d’anthropophages qui mangeaient leurs ennemis tués au combat. Un des guerriers lui expliqua quelles parties étaient le plus appréciées : pour la viande, tout le dos (ce qui correspond, chez le bœuf, à l’entrecôte, au filet et au rumsteck), pour les abats, le foie, le cœur et le cerveau étaient considérés comme les morceaux de choix. Un guerrier lui avoua que, pour lui, "la paume des mains était le plus tendre et délicieux morceau de tous". Revenu en France, il réussit à se procurer un morceau de chair auprès d’un interne de la Sorbonne et, dans la villa du baron Gabriel des Hons, à Neuilly, se livra enfin à son expérience, devant témoins. Il cuisina la viande et la goûta : "Cela ressemblait à de la bonne viande de veau bien développé, pas trop jeune mais pas encore un bœuf. C’était indubitablement comme cela, et cela ne ressemblait à aucune autre viande que j’aie déjà goûtée. C’était si proche d’une bonne viande de veau bien développé que je pense que personne qui soit doté d’une sensibilité normale n’aurait pu le distinguer du veau."


Après la Première Guerre mondiale, William Buehler Seabrook, journaliste au New York Times, voyagea en Afrique où il s’interrogea sur le cannibalisme. Il finit par rencontrer une tribu d’anthropophages qui mangeaient leurs ennemis tués au combat. Un des guerriers lui expliqua quelles parties étaient le plus appréciées : pour la viande, tout le dos (ce qui correspond, chez le bœuf, à l’entrecôte, au filet et au rumsteck), pour les abats, le foie, le cœur et le cerveau étaient considérés comme les morceaux de choix. Un guerrier lui avoua que, pour lui, "la paume des mains était le plus tendre et délicieux morceau de tous". Revenu en France, il réussit à se procurer un morceau de chair auprès d’un interne de la Sorbonne et, dans la villa du baron Gabriel des Hons, à Neuilly, se livra enfin à son expérience, devant témoins. Il cuisina la viande et la goûta : "Cela ressemblait à de la bonne viande de veau bien développé, pas trop jeune mais pas encore un bœuf. C’était indubitablement comme cela, et cela ne ressemblait à aucune autre viande que j’aie déjà goûtée. C’était si proche d’une bonne viande de veau bien développé que je pense que personne qui soit doté d’une sensibilité normale n’aurait pu le distinguer du veau."


CROISADES

Des expéditions très sanglantes

Une fois les villes conquises, les troupes chrétiennes et leurs chefs, se livraient à des atrocités qui faisaient frémir les chroniqueurs chrétiens qui en avaient été les témoins, certains se plaisaient à pratiquer le cannibalisme. Ainsi, après la mise à sac de la Palestine, Raoul de Caen, chroniqueur de la Première Croisade écrivait : « A Maarat, les nôtres firent cuire les païens adultes dans des marmites et embrochèrent les enfants pour les manger rôtis. » Le chroniquer arabe Usana ibn Munqidh, qui avait connu dans sa chair les atrocités de la deuxième te troisième croisade, notait dans ses mémoires : « Quand on nous eu informés sur les frany (nom donné par les Arabes aux Croisés), nous vîmes en eux des bêtes nuisibles qui ont une supériorité dans la valeur et l'ardeur au combat mais rien d'autre, tout comme les animaux ont une supériorité dans la force et l'agressivité. » Et cet autre : « Les frany passèrent au fil du couteau la population de la Cité sainte et tuèrent des Musulmans pendant une semaine. Dans la mosquée Al-Aqsa, ils massacrèrent 60 000 personnes. Ils réunirent et enfermèrent les Juifs dans leur synagogue et les y brûlèrent vifs. » Même leurs coreligionnaires n'échappèrent pas à la fureur sacrée des troupes européennes : tous les prêtres et pratiquants des rites orientaux résidant à Jérusalem furent expulsés de la ville et beaucoup assassinés. Plusieurs prêtres coptes qui savaient où se trouvait cachée « la Sainte croix du Christ » furent férocement torturés afin qu'ils livrent leur secret.

Durant la Seconde Guerre mondiale les soldats japonais commirent des actes de cannibalisme à l'encontre des prisonniers et des populations civiles dans les territoires occupés.
Ces actes ont pu être motivés par la famine dans certains cas ; mais selon l'historien Yuki Tanaka, « le cannibalisme était souvent une activité systématique menées par des escouades entières et sous le commandement d'officiers ».
Les plus hauts gradés connus ayant pratiqué le cannibalisme sont le lieutenant-général Yoshio Tachibana (qui, avec 11 membres de son personnel, a été jugé pour avoir fait manger un aviateur américain en août 1944 à Chichi Jima) et le vice-amiral Mori (pour avoir mangé un prisonnier lors d'une réception en février 1945).
Selon le témoignage de plusieurs prisonniers, tel que celui du soldat indien Hatam Ali, les victimes étaient parfois dépecées vivantes.


On a rapporté que, durant la guerre du Vietnam (1959-1975), des soldats vietcongs ingéraient le foie de leurs ennemis pour s’approprier leur force.
La presse a publié des photos d’enfants-soldats laotiens exhibant les foies humains qu’ils allaient consommer.

Dans Stèles rouges, l'écrivain Zheng Yi raconte comment, au cours d'une enquête dans la province de Guangxi, il découvrit de nombreux cas de cannibalisme qui eurent lieu durant la révolution culturelle : "Aussi parle-t-on rarement de ce qui 6 arriva en Chine en 1968, en pleine révolution culturelle. Des étudiants du Guangxi ont mangé leur professeur, et le cannibalisme politique est devenu une expression admissible de la cruauté révolutionnaire. Des hommes étaient découpés vivants, on organisait des festins de chair humaine rituels auxquels chaque camarade se devait de prendre part.”


confréries

Le 27 juillet 2009, devant le Tribunal spécial pour la Sierra Leone (TSSL), l'ancien président libérien Charles Taylor, poursuivi pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité et interrogé à propos de la déposition d'un témoin de l'accusation racontant qu'il avait mangé de la chair humaine avec Charles Taylor lors d'une cérémonie de la société secrète Poro dont l'accusé est aujourd'hui encore le chef, déclara qu'il ne s'était jamais livré au cannibalisme au Liberia, et qu'il n'avait "jamais ordonné à aucun combattant de manger qui que ce soit", en précisant qu'il "ne contestait pas qu'il y ait des cannibales dans certaines parties du Liberia".

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L’origine des maladies à prions pourrait bien être le cannibalisme

Caducee.net, le 11/4/2003

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D’après une étude épidémio-génétique réalisée à la fois sur les populations cannibales de Papouasie-Nouvelle Guinée et sur différentes populations du globe, il apparaît exister de nombreuses évidences anthropologiques allant dans le sens d’une origine préhistorique des maladies à Prions transmissibles à l’homme et véhiculées par les pratiques cannibales courantes avant notre ère.

Le polymorphisme du gène PRNP, codant pour la protéine prion humaine, et notamment une forme mutée de ce gène (PRNP129), confère à l’état hétérozygote une relative résistance aux maladies à prions (sélection compensatoire).

L’équipe de John Collinge (University College Queen Square, Londres) a étudié parmi une population de femmes de Papouasie-Nouvelle-Guinée (Les Fores) pratiquant le cannibalisme, le polymorphisme du gène PRNP. Elle s’est aperçue que 23 des 30 femmes étudiées étaient porteuses à l’état hétérozygote de la mutation M129V. Il a été montré que cette mutation confère par ailleurs une résistance à la maladie de Creutzfeld-Jakob (MCJ), une encéphalopathie spongiforme semblable au Kuru, la maladie observée parmi cette population.

La mutation M129V (ou bien E219K) a été retrouvée par les chercheurs sur l’ensemble du globe, et l’analyse des régions d’ADN entourant ces mutations a révélé que le polymorphisme du gène prion remontait probablement à plus de 500000 ans.

D’après les chercheurs, le polymorphisme du gène PRNP remonterait à des périodes préhistoriques et la fréquence de son apparition à travers le monde plaiderait en faveur d’une pratique courante du cannibalisme avant notre ère.

Source: Science 11 avril 2003;www.sciencexpress.org/10 april 2003/page 1/ 10.1126/science.1083320


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vendredi 26 août 2011

SKULL AND BONES ET LEURS RITUELS`CANNIBALISME ET.....

voir l'image en taille réelle
SORCIÈRES REINES
FAMILLES ROYALES CANNIBALES, et encore de nos jours dans leurs confréries
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DRUIDISME ET REINES SORCIÈRES, CANNIBALISME ROYAL et chez les bourgeois de ce monde

La famille royale britannique a consommé de la chair humaine

La famille royale britannique a consommé de la chair humaine (mais ne vous inquiétez pas c’était il y a 300 ans…)


La famille royale britannique a consommé de la chair humaine (mais ne vous inquiétez pas c’était il y a 300 ans – d’après ce que dit cet article du Daily Mail en tout cas…)

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Par FIONA MACRAE

Dernière mise à jour à 00h58 le 21 mai 2011

Ils ont longtemps été connus pour leur amour des banquets somptueux et des riches recettes. Mais ce qui est moins connu, c’est que la famille royale britannique avait également un penchant pour la chair humaine.

Un nouveau livre sur le cannibalisme médicinal a révélé que peut-être aussi récemment que la fin du 18ème siècle la royauté britannique ingérait des morceaux de corps humain.

L’auteur ajoute que ce n’était pas une pratique réservée aux monarques, mais que cette dernière était répandue parmi les gens aisés en Europe.


Le cannibalisme médicinal: Tant la reine Mary II que son oncle le roi Charles II ont consommé du crâne d’homme distillé sur leur lit de mort en 1698 et 1685 respectivement, selon le Dr Sugg.

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Le cannibalisme médicinal: Tant la reine Mary II que son oncle le roi Charles II ont consommé du crâne d’homme distillé sur leur lit de mort en 1698 et 1685 respectivement, selon le Dr Sugg.

Alors qu’ils dénoncaient les cannibales barbares du Nouveau Monde, ils appliquaient, buvaient, ou portaient de la poudre de momie égyptienne, de la graisse, de la chair, des os, du sang, de la cervelle, et de la peau humaine.

De la mousse prélevée sur le crâne de soldats morts a même été utilisée comme remède dans les saignements de nez, selon le Dr Richard Sugg de l’Université de Durham.

Le Dr Sugg, a déclaré: « Le corps humain a été largement utilisé comme agent thérapeutique, les traitements les plus populaires incluant chair, os, ou sang. »

« Le cannibalisme a été pratiqué non seulement dans le Nouveau Monde, comme on le croit souvent, mais aussi en Europe.

« Une chose qu’on nous enseigne rarement à l’école, alors que les textes littéraires et historiques de l’époque en attestent, est la suivante: James I a refusé la médecine par les corps; Charles II a transformé son propre corps en médecine, et Charles I a été transformé en médecine par les corps.

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« Avec Charles II, les utilisateurs ou prescripteurs éminents incluaient François Ier, le chirurgien d’Elizabeth I John Banister, Elizabeth Grey, la comtesse de Kent, Robert Boyle, Thomas Willis, William III, et la reine Mary.

Nouveau monde: Représentation de cannibalisme dans la tribu Tupinamba du Brésil tel que décrit par Hans Staden en 1557. Que ceci soit vrai ou non, le mythe a ignoré le fait que les Européens consommaient de la chair humaine.

L’histoire du cannibalisme médicinal, fait valoir le Dr Sugg, a soulevé un certain nombre de questions sociales importantes.

Il dit: « le cannibalisme médicinal s’est servi du poids formidable de la science européenne, de l’édition, des réseaux commerciaux, et de la théorie informée.

« Alors que la médecine par les corps a parfois été présentée comme une thérapie médiévale, elle était à son comble lors des révolutions sociales et scientifiques du début de la Grande-Bretagne moderne.

« Elle a survécu jusqu’au 18ème siècle, et parmi les pauvres, elle a persisté obstinément à l’époque de la reine Victoria.

« Indépendamment de la question du cannibalisme, l’approvisionnement en parties du corps nous semble désormais très contraire à l’éthique.

« À l’apogée du cannibalisme médicinal, des corps ou des os ont été systématiquement extraits de tombeaux égyptiens et de cimetières européens. Non seulement cela, mais jusqu’au dix-huitième siècle la plus grande part des importations en provenance d’Irlande en Grande-Bretagne étaient constituée des crânes humains.

« Que tout cela ait été pire ou non que le marché noir contemporain d’organes humains est difficile à dire. »

This painting of Charles I's execution in 1649 shows people surging forward to mop up the former King's blood. It was thought to have healing properties

Cette peinture de l’exécution de Charles Ier en 1649 montre des gens se précipitant pour récolter le sang de l’ancien roi. On pensait que ce dernier avait des propriétés curatives.

Le livre donne de nombreux exemples vivants, et souvent dérangeants, de la pratique, allant des échafaudages d’exécution en Allemagne et en Scandinavie, aux tribunaux et laboratoires d’Italie, de France et Grande-Bretagne, aux champs de bataille de Hollande et d’Irlande, et aux tribus anthropophages des Amériques.

Un tableau représentant l’exécution de Charles I 1649 montrait des gens récoltant le sang du roi avec des mouchoirs.

Le Dr Sugg dit: « Cela a été utilisé pour traiter le « mal du roi » – un problème plus souvent guéri par le contact avec des monarques en vie. »

« En Europe continentale, où la hâche tombait systématiquement sur le cou des criminels, le sang était le traitement de choix pour de nombreux épileptiques.

« Au Danemark, le jeune Hans Christian Andersen a vu des parents faire boire à leur enfant malade du sang à l’échafaud. Ce traitement était si populaire que les bourreaux demandaient régulièrement à leurs assistants de recueillir le sang dans des coupes alors qu’il jaillissait du cou des criminels mourants.

« Parfois, un patient pouvait court-circuiter ce système. Lors d’une exécution au XVIe siècle en Allemagne, « un vagabond saisit le corps décapité » avant qu’il retombe, et en bu le sang.. ». »

La dernière instance enregistrée de cette pratique en Allemagne s’est produite en 1865.

Histoire: L’auteur le Dr Richard Sugg, de l’Université de Durham, plonge dans l’univers sombre du cannibalisme médicinal dans son nouveau livre « Momies, Cannibals and Vampires » (momies, cannibales et Vampires).

Alors que Jacques Ier avait refusé de prendre du crâne humain, son petit-fils Charles II aima tellement l’idée qu’il acheta la recette. Ayant payé peut-être £ 6,000 pour cela, il distillait souvent du crâne humain lui-même dans son laboratoire privé.

Dr Sugg dit: « En conséquence connu depuis longtemps sous le nom de « gouttes de roi », ce remède fluidique a été utilisé contre l’épilepsie, les convulsions, les maladies de la tête, et souvent comme un traitement d’urgence pour les mourants.

« Ce fut la toute première chose que Charles rechercha le 2 Février 1685, au début de sa dernière maladie, et qu’on lui administra, non seulement sur son lit de mort, mais sur celui de la Reine Mary en 1698.

Les recherches du Dr Sugg seront présentées dans un prochain documentaire de Channel 4, avec Tony Robinson, dans lequel ils reconstituent des versions de traitements cannibales plus anciens à l’aide de cervelles, sang, et crâne de porcs.

Le livre, intitulé « Mummies, Cannibals and Vampires » (momies, cannibales et Vampires) sera publié le 29 Juin par Routledge, et retrace l’histoire de la médecine européenne en grande partie oubliée du cadavre, de la Renaissance à l’époque victorienne.

Voir également cet article du Dr Sugg dans le journal médical The Lancet.

Source: dailymail


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par Viny Eden
mon e-mail est soleilpourtous@hotmail.com



mardi 23 août 2011

SUIVEUSES NAIVES QUI CONFORMENT EN HUMILIANT

RIEN DE PIRE QUE LA FAMILLE POUR CONFORMER À LA SOCIÉTÉ
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Et les travailleuses ne font guère mieux

Dès que tu travailles tu fais allégeance au système
et tut te mets à le défendre férocement afin de garder tes privilèges

Tant que nos femmes et nos mères fermeront les yeux et n'apprendront pas à leurs enfants à ne pas se vendre pour des peanuts ni à trahir tout le monde afin de tenter de payer son logement...... Devons-nous encore sacrifier tout le monde pour sa petite personne ?

''Les êtres petits ne s'occupent que de leurs petites personnes ; les êtres grands s'occupent du Monde Entier''

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tout en divertissant
Humanité reine

lundi 22 août 2011

solutions POUR ÉLIMINER LA PAUVRETÉ

FIN DU PRIVÉ
Évidemment que chacun de nous avons le droit à une propriété décente et à un grand terrain et..... mais fin pour les fortunes décadentes
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C'EST AINSI QU'IL N'Y AURA PLUS DE PAUVRES
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TOUT NATIONALISER ET DISTRIBUER ÉGALEMENT ENTRE CHACUN DE NOUS
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Mais les stériliser c'est procéder aussi violemment envers eux qu'ils le font envers nous: NON, il ne faut pas faire cela, ...... CE N'ÉTAIT QU'UNE JOKE, par contre ........

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Par contre on se doit de les démettre de leurs fonctions d'autorité qu'ils ont sur l'Humanité via leurs centaienes d'Ordres, de Confréries, d'Organismes, d'Armées et .....

de les déconfrériser

de les déordriser

de les désArmées

de les désOrganismer

déPrivatiser les grandes Entreprises et multinationales

de les décontaminer de leurs mentalités élitistes d'égoistes hiérarchistes, eugénistes......

SORTIR DE LEURS MENSONGES..... COMMENT

"alarmistes militants" eugénistes


POLLUTION QUE MILITAIRE ET..... POUR AUGMENTER LE TAUX DE MALADIES ET.... TANT QUE DES ÉTATS SERONT EUGÉNISTES

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Le CO2 (dioxyde de carbone) et le réchauffement climatique

Le CO2 n’est pas un polluant. Cet amalgame entre CO2 et polluant toxique est tellement entretenu par les médias que la confusion est le plus souvent totale.

Le CO2 est le gaz que respirent les arbres, grâce auquel ils se construisent tout en rejetant l’oxygène dans l’air.

C’est le CO2 qui pétille dans les bulles de nos boissons gazeuses.


Le CO2 est un gaz naturel à effet de serre dans le sens qu'il nous protège des rayons du soleil, sans toxicité, et nécessaire à la vie sur terre.


On a donc l'impression que cette


Mondialisation du G-8 EUGÉNISTE tente de raréfier la fabrication d'oxygène par une taxe carbone pour diminuer le carbone et par conséquent la végétation et .... Nos dirigeants internationaux sont tellement menteurs et vicieux qu'ils sont capables de tout et on le sait bien


Plusieurs chercheurs ont reconstruit la courbe des températures depuis l'an mil en utilisant d'autres données dendrochronologiques (tel J. Esper Institut Fédéral de recherche Suisse, en 2002) et surtout une méthode d'analyse correcte (qui ne l'était pas dans le cas de la

crosse de hockey). Ces derniers ont bien retrouvé le petit âge glaciaire et l'optimum médiéval avec une courbe plus réaliste qui n'a rien à voir avec la crosse de hockey du GIEC... Bref, voici la courbe des températures généralement admise (à droite) et publiée par le GIEC (IPCC en anglais) jusqu'en 1998. Pour bien montrer la différence, je rappelle la courbe en "crosse de hockey" de Michael Mann et al. et celle publiée par le même GIEC depuis 1999, à gauche.

Ces deux courbes sont franchement contradictoires. La courbe de droite (amplitude d'environ + et - 2°C en température) bénéficie d'une infinité de confirmations de toutes sortes. Les récits historiques très nombreux et bien documentés rapportent que les Vikings colonisaient le Groenland à l'époque de l'optimum médiéval (mediaeval warm period) tandis que la vigne était cultivée dans le nord de l'angleterre. Les vikings ont quitté les Groenland vers 1348 repoussés par les glaces qui commençaient à envahir cette terre autrefois fertile. Pendant le petit âge glaciaire (little ice age), la Seine et la Tamise étaient gelées et l'on y tenait boutiques en hiver ! Etc. Les récits historiques, les dessins, la phénologie (étude des croissance des plantes comme la vigne décrites par Leroy Ladurie), tous racontent la même histoire qui correspond à cette courbe. Ces périodes sont très bien documentées et leur existence est indubitable. On en a retrouvé des traces dans le monde entier (Argentine, Etats-Unis, Afrique du Sud, Australie, Tasmanie, Japon, Chine, Kenya, Mauritanie, mer des Antilles etc.), contrairement à ce qu'affirment les quelques supporters restants de la crosse de hockey. C'était bien des événements mondiaux. Alors comment le GIEC et notamment, Sir Houghton (ci-contre, celui-là même qui a dit " Si nous n'annonçons pas des catastrophes, personne ne nous écoutera !") a t'il pu faire paraître une courbe de variation des températures qui gomme tous ces événements qui devraient apparaître en très grand à l'échelle de la courbe en "crosse de hockey" en contredisant ainsi ce que tout le monde savait et que le GIEC, lui-même, avait officiellement publié jusqu'en 1998 ? Cette dernière courbe affirme même un léger maximum de température en 1750, alors que toutes les autres données nous disent, au contraire, que c'étaient des années glaciales !

C'est pour le moins bizarre, sinon inquiétant ! Pour le GIEC, depuis 1998, brusquement, la connaissance du passé n'existe plus ! On le comprend quand on sait que le but affiché de cet organisme est de montrer que tout ce qui se produisait au XXème et XXIème siècle était totalement inhabituel dans l'histoire de la terre et qu'il ne s'était rien passé avant l'ère industrielle. Mais tout de même : C'est un peu fort de café !

Maintenant se pose une question : Le GIEC a t'il agi de la même manière en ce qui concerne la courbe de variation du CO2 dans l'atmosphère, toujours pour "prouver" que la croissance du CO2 au XXème siècle est totalement nouvelle dans l'histoire du globe et qu'avant l'ère industrielle, il ne s'était rien passé et que le taux de CO2 dans l'atmosphère était constant à 280ppm ? Voyons en détail ce que nous dit la littérature scientifique à ce sujet. Et il y en a énormément sur ce sujet, et depuis longtemps, malheureusement pour le GIEC. Le CO2 qui est l'agent N°1 du cycle du carbone a toujours passionné les scientifiques et ceci depuis très longtemps.

Courbes de variations du CO2 dans l'atmosphère selon les différents travaux scientifiques...

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Toxicité: Le CO2 n'est jamais toxique pour les humains
aux concentrations observables

Ne risquons nous pas de "polluer" l'atmosphère en y augmentant le taux de CO2 ? Et bien non. Les concentrations de CO2 "rencontrables" hors expériences de laboratoire ne sont en aucun cas toxiques, et les seuils de mortalité sont purement théoriques. Les données qui suivent sont traduites du guide en ligne des inspecteurs de sécurité des bâtiments aux USA:

  • Tout d'abord, une convention d'écriture 1,000,000 ppm d'un gaz = 100 % de concentration de ce gaz, et 10,000 ppm d'un gaz dans l'air=1% de concentration.

  • La concentration actuelle du CO2 est de 385 ppm, soit 0,038%.
  • Une maison fermée renferme, selon la qualité de son aération, de 600 à 800ppm, liés à la respiration des êtres vivants qui s'y trouvent. Soit 0,06/0,08%. Ces concentrations sont celles qui pourraient être rencontrées dans l'atmosphère au siècle prochain selon les estimations les plus pessimistes du GIEC.
  • Un auditorium fermé et moyennement ventilé peut atteindre 1200 ppm,0,12% . Aucune personne ne sera incommodée par le CO2 lui même, ceci dit, la mauvaise ventilation aura d'autres effets pervers. Les normes de sécurité considèrent qu'au dela de 1200ppm, une pièce présente un défaut de ventilation potentiellement gênant, mais pas à cause du CO2.

  • A 1%, soit 10 000 ppm, soit 25 fois plus que dans l'air ambiant extérieur, et 14 fois plus que dans une maison, ce qui n'est concevable que dans un auditorium de grande contenance et très mal ventilé, où la même foule resterait plusieurs heures sans aération (!), des occupants sont susceptibles de ressentir une somnolence.
  • C'est à partir de 20 000ppm, soit 2%, que des problèmes de nature médicale peuvent survenir: lourdeurs de poitrine et essoufflement. Ce niveau ne peut pas se rencontrer en situation naturelle, les effets de telles concentrations ont été étudiés en laboratoire.
  • A 3%, la respiration devient deux fois plus rapide que la normale. A 5%, quatre fois plus. à 5% (50 000 ppm, 125 fois les niveaux actuels), le CO2 est directement toxique voire mortel, par détresse respiratoire principalement.

On le voit, avant que le CO2 ne devienne un"polluant direct", il y a une marge énorme: le GIEC prévoit 560ppm à la fin du 21ème siècle dans l'atmosphère. Le CO2, à l'état naturel, quelle que soit sa concentration, n'est pas un problème pour la vie humaine

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Rappel de la courbe de croissance (de 1000 à 2000) du CO2 dans l'atmosphère telle qu'elle a été publiée par le GIEC en 2001.

La comparaison de ces deux courbes de concentration du CO2 dans l'atmosphère (celle du GIEC et celle des résultats compilés par E-G Beck) laisse rêveur, tant elles sont différentes....

La proportion de CO2 mesuré par carottage (jusqu'en 1960) est toujours très faible et monte progressivement et lentement ce qui est en contradiction absolue avec les relevés directs du CO2 par voie chimique

Ou bien les 90000 résultats des 173 articles scientifiques publiés entre 1800 et 1960 et compilés par le professeur Beck sont tous erronés. C'est très difficile à croire compte tenu du fait que toutes le mesures sélectionnées et réalisées avec un grand luxe de précautions pour éviter la contamination par des sources externes de CO2 (forêts, villes etc.) par un grand nombre de chercheurs, en différents point du globe, se recoupent entre elles. D'autre part, comme je l'ai écrit, plusieurs de ces chercheurs ont été récompensés par des prix Nobel ou d'autres prix prestigieux. Plusieurs de ces chercheurs ont consacré leur vie entière à ces mesures du CO2 dans l'atmosphère...


D'après cet organisme, la quantité d

e CO2 dans l'atmosphère est restée presque stabl

e à une valeur autour de 280ppm ( partie par million en volume), puis a connu une augmentation continue depuis 1850, le début de l'ère industrielle. D'où la conclusion que l'homme en est responsable. La quantité de CO2 dans l'atmosphère est actuellement de 384ppm toujours d'après le GIEC.
De l'an 1000 à 1961, les valeurs rapportées résultent des carottages glaciaires. Après 1960, les mesures ont été effectuées directement sur le volcan (en activité !) de Mauna Loa à Hawaï


Les mesures rapportées ici sont effectuées à 2m au dessus du sol.
La courbe des mesures directes (en bleu foncé) diffère notablement de la courbe de gauche, et de courbes (en mauve) rapportés par le GIEC. Celle publiée par le GIEC ne montre aucun "accident" notable entre 1810 et 1970 avec une valeur moyenne de 300 ppm. Par contre, les mesures directes ci-dessus donnent des valeurs en moyenne nettement plus élevées (environ 340 ppm) et surtout montrent que la proportion de CO2 dans l'atmosphère a beaucoup varié pendant cette période et a plusieurs fois largement dépassé la valeur actuelle de 384ppm, (dont on nous dit qu'elle est catastrophique). Ainsi en 1823 (440ppm), en 1855 (390ppm) et en 1942 (440ppm). A noter que la date de 1942 correspond à un pic de température (avant le refroidissement jusqu'en 1975) que n'a pas vu la crosse de hockey

Addendum 24 Mars 2010 : En réalité, le taux de CO2 varie considérablement avec l'altitude et, surtout avec les vents. Beck et Massen ont réalisé un travail intéressant mentionné sur le blog de Pielke Sr , montrant que les mesures anciennes, effectuées le plus souvent à 2m au dessus du sol peuvent être corrigées pour tenir compte du vent qui favorise le mélange de l'atmosphère, si l'on veut se replacer dans les conditions de Mauna Loa. Il n'en reste pas moins que l'absorption IR par le CO2 se fait en quelques dizaines de mètres au dessus de la terre.... (cf Richard Lindzen)

Les mesures de la concentration du CO2 par carottage glaciaire :

Comme on le voit tous les jours et bien que ces mesures diffèrent très nettement des mesures directes qui avaient cours jusque dans les années 60, le GIEC ne retient pour toutes ses publications, pour les périodes avant 1960, que les mesures obtenus par cette technique. Le GIEC a donc fait un choix décisif qui corrobore parfaitement son alarmisme en matière de gaz à effets de serre même au prix d'une contradiction flagrante avec les mesures directes par voie chimiques. A noter que les rapports successifs du GIEC se gardent bien d'évoquer cette grave question...

Les auteurs de cet article expliquent aussi que la baisse du taux de CO2 atmosphérique durant cette période, correspond à un refroidissement "concomitant" de la température des océans .Ceci est particulièrement net au vu l'abaissement du taux de CO2 observé pendant le "pic" de refroidissement autour de 8200 BP. Ce qui est conforme avec la loi fondamentale de la physique qui impose que le CO2 soit plus soluble dans les océans plus froids.

...Tout ceci semble avoir échappé au mesures du taux de CO2 par carottage glaciaire. Tout comme d'ailleurs le taux élevé du CO2 dû au réchauffement des années 30-40, vu par les mesures directes des chimistes mais que les carottages n'ont pas détecté, non plus.

Autrement dit, le choix qu'a fait le GIEC de privilégier les mesures de carottages glaciaires (jusqu'en 1960, avant les mesures directes de Mauna Loa) ne pouvait conduire qu'à une sous estimation du taux de CO2 pré-industriel et donc, par comparaison, à une surestimation de l'apport de CO2 humain depuis la période industrielle. Jaworowski voit cela comme une sorte de deuxième crosse de hockey qui exagérait le réchauffement récent en éliminant l'optimum médiéval, mais pour le CO2 cette fois-ci.

Attention: ne pas confondre, comme semblent à ma grande surprise le faire certaines personnes dans certains forums, le CO, monoxyde de carbone, gaz mortel qui est issu de la mauvaise combustion de chaudières ou de moteurs mal réglés, avec le CO2

Conclusion : Il existe des doutes sérieux quant à l'exactitude des deux courbes maîtresse du GIEC, démontrant, selon lui, l'existence d'un effet de serre anthropogénique.

D'autres données que les siennes indiquent qu'aussi bien la température que le taux de CO2 ont été souvent plus grands dans la passé que les valeurs actuelles, et que ces valeurs n'étaient pas corrélées à l'activité humaine.

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ALCAN CONSOMME EN EAU DOUCE À CHAQUE ANNÉE PLUS QUE CE QUE CONSOMMENT 600 MILLIONS DE GENS.



petits rappels histopriques

voir l'image en taille réelle

Les années1920

Les firmes Ford Angleterre à Manchester puis à Dagenham, Ford Allemagne à Cologne et Ford France à Poissy ont commencé par diffuser des Ford américaines avant de concevoir leurs propres modèles.


Ford Angleterre diffuse des Ford T et A à conduite à droite de 1911 à 1932 alors que Ford Allemagne assemble des Model T en 1925 et des Model A en 1927. L'usine anglaise de Dagenham construit sa première Ford en 1932 ; c'est l'Y 8 ch de 933 cm3 à soupapes latérales. Un an plus tôt, l'usine de Cologne démarrait la construction de la quatre-cylindres B connue plus tard sous le nom de Rheinland.

En France, Henry Ford et Emile Mathis produisent la Ford V8 à Strasbourg sous le nom de Matford en 1934.

En 1935, Ford Amérique construit le moteur Alsace de 22 ch qui équipe les Matford et les Ford anglaises.

En 1939, Ford et Mathis se séparent.


30/07/1938


Henry Ford reçoit la Grande Croix de l'Aigle allemand, distinction nazie. Le fabriquant automobile sera connu pour son soutien au nazisme, 30/07/1938


''JE TRAVAILLE POUR LE VATICAN ET.....''

FAISONS UN PROCÈS PUBLIC CONTRE LES AGISSEMENTS CRIMINELS DE LA REINE ET DE SES BUSH, REAGAN, FORD, , TRUDEAU, MULRONEY, les sénateurs (BENET, BYRD.....), GM, ALCAN...

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Cette photo montre les chefs d'États pions de Londres réunis pour LA FORE INDUSTRIELLE DE LONDRES afin de préparer leurs Guerres Mondiales


FORD ET GM sont des bandits, ils furent mis en place pour installer les moteurs à gaz afin de remplacer les fameux moteurs à vapeurs et à l’eau…. Ils ont toujours su fabriquer des MOTEURS À EAU mais ils concentrent leurs productions mondiales que sur la dépendance aux pétrolières Britanniques....

En 1996, GM lance la EV1, ce qui marquera le début du scandale de plus de 6 ans au sujet de la disparition soudaine de ce modèle entièrement électrique.

Henri Ford et GM, ALCAN... ont joué sur tous les tableaux, fabriquant aux USA des chars pour les alliés et en Europe des véhicules pour les nazis. Les GIs américains qui se battaient en Europe contre les troupes d’Hitler eurent la surprise de découvrir que les militaires allemands conduisaient des camions Ford. S’ils avaient porté leurs regards vers le ciel, ils auraient pu voir voler les avions nazis construits par Opel, une filiale de General Motors (GM). En 1939, les filières allemandes de General Motors et Ford approvisionnaient 70% du marché allemand de voitures. Il faut savoir qu'Henry Ford, comme Prescott Bush (grand-père de Bush) faisait parti du conseil d'administration de BBH (Brown Brothers Harriman, qui prétendait être la plus grande banque d'investissement privée du monde). L’admiration était apparemment réciproque. En juillet 1938, Henry Ford acceptait une médaille du gouvernement allemand, la plus grande récompense qui pouvait être remise à un étranger par les Nazis. Un mois plus tard, James Mooney, un haut dirigeant de GM, recevait également une médaille du gouvernement allemand "pour les grands services rendus au Reich." L’écrivain anglais Charles Higham cite ces paroles de Mooney, en 1940 : "Hitler est dans le vrai, et je ne ferai rien qui puisse le contrarier." A la fin de la guerre, Henry Schneider, un enquêteur de l’armée américaine, qualifiait la filiale allemande de Ford d’"arsenal du nazisme, du moins pour les véhicules militaires". D’après Schneider, ce dispositif avait l’approbation des dirigeants de Ford, aux USA. La reconnaissance des Nazis pour Ford et GM était bien fondée : les camions "Blitz", produits dans une usine construite par GM à Berlin, étaient une composante majeure de la "Blitzkrieg", l’agression allemande contre ses pays voisins : la Pologne, l’URSS et la France. Opel, la filiale allemande de GM, et Ford-Allemagne étaient les deux premiers constructeurs de camions pour les forces militaires allemandes.


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