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jeudi 22 décembre 2011

SANTA = SATAN ...... DE CES DERNIERS MILLÉNAIRES, LES ÉTATS CONQUÉRANTS -GUERRIERS ONT FAIT DES ''SAINTS'' DE LEURS ASSASSINS CONTRE LEURS PEUPLES

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SANTA = SATAN ......

L'anagramme de ''santa'' est ''satan'': est-ce un hasard?

DE CES DERNIERS MILLÉNAIRES, LES ÉTATS CONQUÉRANTS -GUERRIERS ONT FAIT DES ''SAINTS'' DE LEURS ASSASSINS CONTRE LEURS PEUPLES

Pour ces États-mafias-bandits (G-8), il était normal de faire de ses bandits des saints pour les motiver et sanctifier leurs crimes au nom de l'État tout comme on le fait aujourd'hui avec les soldats. Et ces prêtres qui louangeaient ces commandants des armées et leurs compagnons, et qui méritèrent selon eux par le martyre d’être couronnés dans le ciel.

Les « saints militaires » : des martyrs « militarisés » ????? Mais ces saints invoqués pour la défense des états: qui sont-ils donc ? Honorés comme militaires et comme défenseurs des armées chrétiennes, les saints dont il est question sembleraient tout désignés pour constituer des modèles de chevaliers chrétiens.


Guerriers canonisés « saints chevaliers » ??? Ils croient mettre leurs armes au service de la justice, de la « Paix de Dieu », de la chrétienté..... rien n'est plus opposé à ce que Dieu attends de nous.


L
e culte de guerriers reconnus saints pour la seule raison qu’ils sont tombés les armes à la main en défendant la chrétienté contre les païens.





Déguiser le mensonge dans un joli paquet de faire-semblants et de fantaisies. Créer un bon gros bonhomme sans danger qui aime juste les petits enfants. Que la plupart des parents pensent que: «Maintenant, ou est le mal ?"

L
es parents se font piéger par Halloween ou la mode des Pokémon (Les POK-D-D-EMON).


D’où vient-il le nom “le Père Noël,” ou “Nicholas”? Dans Apocalypse 2:6, nous sommes présentés à la secte des Nicolaïtes qui enseignaient et pratiquaient des concepts et des doctrines faux. [ Ils prêchaient particulièrement la hérésie de la « grace sans œuvres. » La Bible, d’autre part, explique très clairement que, bien que la « vie éternelle » nous soit offerte par la grace, comme don de Dieu, notre récompense sera nous donner « selon nos œuvres. » (Apocalypse 22:12). ] Nicolaus, le fondateur de la secte des Nicolaïtes, était un converti Gentil, mais il a plus tard tourné loin de sa conversion. Ce « Nicolaus » n’en est aucun autres que « Nicholas » ou « Père Noël. » En allemand, par exemple, les similitudes de ces deux noms sont plus frappant. « Nicolaus, » le fondateur des « Nicolaïtes, » est rendu en allemand comme « Nikolaus » et le “Père Noël” en allemand est « Nikolaus » aussi bien.

L’ouvrage intitulé “The Pageantry of Christmas,” publié par les rédacteurs du journal Life, page 62, raconte : « Knecht Ruprecht, l’aide de St. Nicholas, […] était également capable de la punition comme il était de la récompense, et les cornes sur sa tête prouvent son origine diabolique […] Il était également connu en tant que “Pierre Noir.”

Saint-Nicolas et Coca-Cola ont accouché du célèbre barbu.
Il est loin le temps où des prêtres dijonnais brûlaient l’effigie de ce ” païen ” en traîneau. Il fait désormais l’unanimité… et les bonnes affaires des marchands de jouets.



Pour exalter cette période charnière du solstice d’hiver, les Romains observaient une fête de préparation, les saturnales (…) et une fête de conclusion, les calendes de janvier ” : la première dédiée à Saturne, ” dieu des semailles, de l’agriculture et de l’âge d’or “, mais aussi ” vieillard dévoreur d’enfants ” (3) ; les secondes à la déesse Strenia, dont serait issu le mot ” étrennes “, et ” qui venait, elle, distribuer des présents “. Dans un texte célèbre, le Père Noël supplicié, sur lequel nous reviendrons, l’ethnologue Claude Lévi-Strauss (3) fait observer que les saturnales ” étaient la fête des larvae, c’est-à-dire des morts par violence ou laissés sans sépultures “, et que, ” pendant la Noël, comme pendant les saturnales, la société fonctionne selon un double rythme de solidarité accrue et d’antagonisme exacerbé “. Selon l’historien anglais des religions James George Frazer (4), cité par Claude Lévi-Strauss et, après lui, par Arnaud d’Apremont, au cours des saturnales, ” on voyait les esclaves remplacer leurs maîtres et ces derniers servir leurs valets (…), les orgies les plus folles, les extrémités les plus coupables étaient le lot de la fête (…) ; à une certaine époque, on se mit également à élire des rois de la fête, parmi les esclaves : pendant une journée, ils étaient traités quasi comme des dieux… avant d’être immolés le lendemain “. Comme le personnage de carnaval. Au cours du Moyen ¶ge, aux saturnales succéderont les ” fêtes des fous “, pendant lesquelles était élu le pape (ou l’évêque) des fous, l’abbas stultorum ; plus spécifiquement appelé l’abbé de liesse dans le cas des évêques-enfants du jour des saints Innocents (28 décembre), ” élus “, selon Lévi-Strauss, ” sous l’invocation de saint Nicolas “. Arnaud d’Apremont rappelle, à ce propos, que, dans Notre-Dame de Paris, Victor Hugo fait de Quasimodo un roi des fous ; qu’à l’occasion de ces fêtes, l’élu pouvait se rendre à l’église et y donner ” libre cours aux pires outrances ” ; que des ” traces de cette fête ” se trouvent en ” de très nombreux lieux comme Beauvais, Autun, Vérone “.


Wodan [ ou Odin ] est devenu – le Père Noël [Santa Claus], ou, comme il est appelé plus commun, St. Nicholas




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Qu’en est-il du mythe du Père Noël ?

Avez-vous déjà pensé que vous pourriez être en train de faire passer vos enfants par le feu, les sacrifier, (d’une manière différente toutefois) en observant la fête de Noël, tout en essayant sincèrement de mettre « l’emphase sur le Christ » ?

Les images sont parfois nettement plus explicites. Le Père Noël des Français, le Weinachtsmann des allemands, Il Babbo natale des italiens et autre Papai Noel des Portugais a pour nom Santa Claus outre Atlantique. Si le docteur Clement Moore écrivit un poème en 1822 sur Saint Nicholas avec quelques années plus tard une illustration d'accompagnement exécutée par le créateur de bandes dessinées Thomas Nast en 1863, c'est à Haddon Sundblom que l'on doit la création de Santa Claus de 1931 à 1964 pour le compte de la Firme Coca-Cola. Chaque année, un calendrier était édité avec une figure de Santa Claus renouvelée. La figurine fit ainsi le tour du monde au dos des magazines géographiques et des postes.



Déjà au XIIème siècle c’est le Vieux Noël qui préside le cortège des Saints qui défilent à l’arrivée de l’hiver. Puis à la Réforme les Luthériens remplacent Saint Nicolas par l’Enfant Jésus. Aux Pays-Bas Saint Nicolas se transforme en personnage semi-laïc.




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ANNEXE

Cette fixation de Noël date de 326. On la doit à l’initiative de l’empereur Constantin qui n’était pas, contrairement à ce que l’on croit, le premier empereur chrétien puisqu’il ne s’est fait baptiser que sur son lit de mort : en fait, il a été pendant tout son magistère un souverain païen.
La fixation de Noël comme date anniversaire est un symbole fort : le 25 décembre a été choisi car elle correspondait à une fête païenne populaire, celle du Sol Invictus. Cette fête vient de Perse (actuelle Iran) et a été ramenée par les soldats romains au cours du Ier siècle ap. JC. Le 25 décembre, on célébrait la naissance de Mithra, dieu solaire né après le solstice d’hiver dans une grotte et dont la d’une mère… était une vierge (tout comme la mère de Jésus, selon les croyances chrétiennes). On a par la suite confondu cette célébration de Mithra avec une autre divinité, syrienne celle-là, le Soleil Invaincu (ou Sol Invictus). Comme le remarque une participante, Noël a donc été une fête qui s’est substituée (plus précisément "juxtaposée" précise Bruno) à une fête païenne.

L
e Père Noël apparaît comme une « créature américaine », héritée du Santa Clauss ou s. Nicolas. Elle est née au milieu du XIXème siècle et est devenue populaire au cours des années 30


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ANNEXE

Rappelons tout d’abord que les historiens sont incapables de définir la date de la naissance de Jésus. Il paraît cependant très probable qu’elle n’ait même pas eu lieu… en hiver. En effet, en naissant dans une étable vide d’animaux (la présence d’un âne et d’un bœuf est une invention folklorique du Moyen-Âge…), nous pouvons supposer que le bétail devait paître dehors, ce qui n’est possible que durant la période du printemps et de l’été. Jésus n’aurait donc pu naître que de mars à fin octobre. CQFD. D’ailleurs, au IIIe siècle, l’historien Hippolyte de Rome fixe la date de naissance de Jésus au 25… mars (Traditions apostoliques).





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MOLLOCH ET MYTHRIA

Roi ou sacrifice ?

A noter que sous sa forme Mélek, qui signifie "roi" (mais peut-être que, selon des découvertes récentes faites à Carthage, ce nom désignerait le "sacrifice" -molk


"Tu ne donneras aucun de tes enfants pour le faire passer par le feu en l'honneur de Moloch, et tu ne profaneras pas le nom de ton Dieu. Je suis Yahweh." (Crampon)

"Tu ne livreras pas de tes enfants à faire passer à Molek, et tu ne profaneras pas ainsi le nom de ton Dieu. Je suis Yahvé." (Jérusalem)

Et la Bible de Jérusalem (p.184-185) ajoute : "Ces sacrifices d'enfants que l'on "fait passer" par le feu, c'est-à-dire qu'on brûlait, sont un rite cananéen condamné par la Loi. Ce rite s'était introduit en Israël, spécialement à Jérusalem, au brûloir de la vallée de Ben-Hinnom (la "Géhenne"). L'origine du mot Molek est phénicienne : il désigne un type de sacrifice ; il fut d'ailleurs divinisé à Ugarit, où le nom paraît dans la liste des dieux. En Israël il a été compris comme un vocable divin, et un certain nombre de textes parlent de sacrifices offerts au dieu Molek (c'est-à-dire Melek, "le roi", vocalisé comme boshet, "la honte")."


Or, il existe à l'époque en Syrie un dieu similaire nommé Sol Invictus et dont l’empereur Héliogabale (203-222) a été le grand prêtre. Il l’introduit à Rome, construit un temple, délaisse les divinités latines anciennes et offre un sacrifice chaque jour à ce dieu solaire. Au IIIe siècle, le syncrétisme faisant, les Romains identifient totalement Mithra à ce Sol Invictus.

Le culte de Baal

En 310, vaincus et assiégés par les Grecs de Sicile, Carthage souffrait de manque d’eau. Les prêtres, pour se faire pardonner leurs péchés par Baal. Chaque famille de Carthage, et non plus seulement les nobles, devait livrer un enfant pour le sacrifice. Les offrandes étaient de plus en plus belles, la folie semblait grandir au fur et à mesure. Les prêtres, sur les côtés se balafraient le visage. Des membres du clergé, les Dévoués, s’appliquèrent mille supplices, se perçant la poitrine de pointes de fer, , se fendant les joues, sa lacérant tout le corps. Puis l’on poussa le premier enfant. Un prêtre étendit sa main sur lui, et le chargea de tous les péchés du peuple pour satisfaire la colère de Baal. Partout retentissaient les cris « Seigneur, mange ! », « Verse la pluie, enfante ! »…

Puis tous défilèrent, le visage et le corps masqués pour ne pas voir et pour que dans la foule, aucune mère, aucune sœur ne reconnaisse un fils ou un frère et ne s’effondre en hurlant sa douleur. Il fallait qu’aucun Carthaginois ne faiblisse. On dit qu’il y eut autant de victimes que l’année solaire compte de jours, mais le chiffre fut vite dépassé

La peur de voir le christianisme assimilé a une religion païenne pousser déja paul dans ses retranchements , mais ne voit-on pas un agneau , un boeuf , lors de la nativité ? et ne voit-on pas les fidéles dans les églises manger le corps du christ en sacrifice ? ALORS NE VENAIT PAS DIRE QUE LE SACRIFICE ET TYPIQUEMENT PAIEN ...
1Co8.10 Car si l'on te voit, toi qui as la connaissance, attablé dans un temple d'idole, ce spectacle édifiant ne poussera-t-il pas celui dont la conscience est faible à manger des viandes sacrifiées?


Des prêtres de Mithra l’église a hérité des coiffes dont sont couverts nos évêques, la mitre. Leurs cérémonies incluent un rite avec une coupe qui ressemble à s'y méprendre à l'eucharistie chrétienne. Leurs chapelles, intimistes et sombres, ont un look qui sera repris pour les églises chrétiennes. Les jeûnes, la pénitence et l'expiation sont déjà des concepts et pratiques du Mithriacisme.

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