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vendredi 29 juillet 2011

SIMONE MONET-CHARTRAND, Ma vie comme rivière

Ô SIMONE .... Ô MON AMOUR
Michel Chartrand et Simonne Monet-Chartrand se sont battus sur la foi de leur idéal de chrétiens soucieux de venir en aide aux exploités, aux déshérités et aux laissés pour compte de la société – chacun bien sûr avec sa marque personnelle : l’un nationaliste avant tout et l’autre croyante avant tout, l’un syndicaliste et radical, l’autre pacifiste et féministe. Mais tous deux ont mené conjointement leurs luttes, s’épaulant, se soutenant envers et contre tout, à chaque instant présents ensemble, ne fût-ce que par le coeur et la pensée.


Simone était anti militariste, elle a écrite un livre magnifique qui montre tous les endroits à Montréal où sont situés des entreprises militaires et paramilitaires


Dès ses études, Simonne Monet Chartrand fut très impliquée dans plusieurs causes avant de rencontrer Michel Chartrand, impliqué dans les [lvf#7543] causes syndicales [lvf#7543] et qui devint son mari.



Dans les années 50, elle a participé à la mise sur pied de plusieurs services: préparation au mariage, école de parents, association des parents-maitres, union familiale, coopératives, Centrale d’enseignants du Québec…
Dans les années 60, elle fonda la Fédération des femmes du Québec, elle participa à Voix des femmes, au mouvement de désarmement nucléaire et créa l’Institut Simone de Beauvoir.

Malgré la désapprobation de sa famille, Simonne épouse Michel Chartrand le
17 décembre 1942 et donnera naissance à sept enfants. Ensemble, ils s’associent aux luttes des citoyens les plus défavorisés d’ici et d’ailleurs. De 1957 à 1967, Simonne Monet-Chartrand est un membre très actif de l’Union de familles de Longueuil. Elle est invitée, en 1961, à donner une conférence sur « les rôles sociaux de la femme canadienne française ». En cette même année, elle devient membre de la Voix des femmes. Dès 1964, Madame Chartrand trouve que l’épouse et la mère canadienne française ont beaucoup de responsabilités dans notre société traditionnelle. Elle dit qu’on doit considérer la femme comme un individu, comme un être humain qui prend ses responsabilités et qui les prend conjointement avec l’homme avec qui elle désire vivre. En 1966, la Fédération des femmes du Québec est fondée. Simonne outille les femmes à prendre leurs responsabilités en tant que femme, à s’affirmer.

Simone était davantage féminine et HUMANISTE que féministe

Simonne Monet-Chartrand s’engage dans plusieurs regroupements de paix tout en s’affichant comme féministe, radicale et pacifique. Elle est motivée par la recherche d’alternatives à la violence, à la terreur et à la puissance. Puis un jour, suite à l’arrestation de son mari, détenu comme prisonnier politique lors de la crise d’octobre 1970, elle nous parle plus de l’exigence du retour aux libertés fondamentales et à la démocratie.

À l’âge de 17 ans, Simonne avait écrit dans son journal intime : « Si j’écris un jour, ce sera pour dire que « Ma vie est rivière ». C’est donc en 1981 que parait le premier d’une série de quatre tomes autobiographiques intitulés « Ma vie comme rivière ». Parmi toutes ses parutions, on retrouvera aussi deux tomes sur les « Pionnières québécoises et Regroupement de femmes ». Décédée le
18 janvier 1993, nous reconnaissons en Simonne Monet-Chartrand une grande pionnière que nous sommes fières d’honorer en ce 24 novembre 1998.




1929 - Création de la Ligue des droits de la femme
La réorganisation du Comité provincial pour le suffrage féminin, fondé en 1928, mène à la création d'un nouvel organisme : la Ligue des droits de la femme. C'est Thérèse Casgrain qui en assumera la présidence.

La Ligue des droits de la femmes sera un mouvement de pression très actif en faveur du vote des femmes. Dès 1929, elle fait parvenir un mémoire à la Commission Dorion chargée d'examiner «des réformes possibles au Code civil qui ont rapport aux régimes matrimoniaux». Mais cette ligue ne revendiquait pas encore le droit à l'avortement: ce sont des gens eugénistes qui s'y sont infiltrés et qui ont commencé à en faire la propagande dans tous les médias, ils et elles avaient du budget et des appuis militaires pour le faire, et comme le Canada est toujours un dominion britannique et que la reine d'Angleterre était et est toujours eugéniste et une féministe criminelle dure et insensible.....

Ces mouvements de femmes ont fait beaucoup pour la Société sauf que cela va trop loin en ce qui a trait à dsépeupler au lieu d'aider les femmes financièrement qui souhaitent garder leurs enfats et les faire viovre décemment

***** Ne pas mélanger les Mouvements des Femmes et de ce qu'ils sont héals devenus des Mouvementys militarisés de la triste condition des femmes à exploiter et prolétariser au lieu de viser l'autonomie et la souveraineté citoyenne en se rappropriant le BIEN COMMUN comme sont nos Ressources Naturelles et, que dorénavant les milliardaires Entreprises et les riches payent leurs justes contributions sociales de taxes et d'impôt ..... qu'ils payent au moins 50% d'impôts, comme cela la classe moyenne n'aura plus besoin d'en payer et par cet IMPÔT PROGRESSIF on deviendra tous des rentiers car cela nous rapportera à chaciun de nous plus de 60 000$ chaque année en plus de nos revenus salariaux.... Capitalistes sachez compter: il y a 7 milliards d'humians qui ont des droits et des besoins légitmes et qui ne sont pas des utopies .....

Nous sommes tous Co-Propriétaires de l'Économie, de nos Pays, de ....


COMMENT L'AVORTEMENT EST APPARU AU SEIN DES MOUVEMENTS DES FEMMES???

31 août 1941 - Décret du Conseil privé autorisant la formation d'une division féminine dans l'armée canadienne
Cette division est connue sous le patronyme anglais de Canadian Women's Army Corp (CWAC). L'aviation est la première section de l'armée à accepter des femmes dans ses rangs. La marine ne l'imitera que le 31 juillet 1942.

Ces femmes doivent «avoir entre 21 ans et 45 ans, présenter un dossier médical satisfaisant, être citoyenne britannique et ne pas avoir d'enfants à charge.» Pour rejoindre l'aviation, elles doivent fournir quatre lettres de recommandations et un certificat de naissance. Malgré cette intégration, ces femmes ne peuvent pas aller au front ou être équipées d'un fusil. Il s'agit de tâches réservées aux hommes. Elles occuperont des postes plutôt administratifs et techniques comme ceux de sténographes, comptables, etc. 12 mai 1947 - Nomi


N'AVORTEZ PLUS DES JÉSUS, DES MARIE

Une école ménagère au début du siècle

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Femmes travaillant dans une usine de munitions

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Marie-Thérèse Casgrain, militante pour le droit de vote des femmes

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© Archives nationale du Canada.

Manifestation de femmes en faveur de l'avortement

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Graffiti pour les Québécoises

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© Antoine Desilets

Manifestation intercentrale lors de la Journée internationale de la femme

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© Office du film du Québec

Revenu moyen des femmes, Québec, 1995

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© Atlas du Canada

Pauline Marois, femme politique

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Événements

7 novembre 1904 - Fondation de l'École ménagère provinciale de Montréal
La Société nationale Saint-Jean-Baptiste fonde l'École ménagère provinciale de Montréal.

Cette école engage deux enseignantes, dont Jeanne Anctil, qui formeront une centaine de jeunes filles à l'enseignement de l'art ménager entre 1906 et 1926. Celles-ci enseigneront à leur tour à des milliers de jeunes Québécoises à travers les villes et villages de la province. [détails]

28 octobre 1905 - Présentation du premier cours de droit donné à des filles catholiques
Les meilleures élèves de l'école Bourgeoys des Dames de la Congrégation reçoivent le premier cours de droit donné à des femmes au Québec.

Les enseignants sont le juge en chef de la Cour supérieure du Québec, Alexandre Lacoste, et le juge Michel Mathieu. [détails]

Octobre 1911 - Première obtention d'un baccalauréat par une Canadienne française du Québec
Fille d'une pionnière de l'action sociale, Marie Gérin-Lajoie devient, en 1911, la première Canadienne française à obtenir un baccalauréat ès arts. Elle fréquente alors l'école d'enseignement supérieur pour filles des Soeurs de la Congréation de Notre-Dame, affiliée à l'Université Laval.

Les résultats de Marie Gérin-Lajoie , les meilleurs de sa promotion, auraient normalement dû lui mériter le prix Colin et celui du prince de Galles, assorti d'une bourse d'études universitaires. Mais les membres du jury n'ont pas jugé bon de lui décerner ce prix, étant donné l'impossibilité pour une jeune fille d'être admise à l'université à l'époque. Ils ont donc remis le prix à l'étudiant ayant obtenu les meilleurs résultats, après Marie Gérin-Lajoie , une pratique discriminatoire qui s'est déroulée dans le plus grand secret. [détails]

21 novembre 1911 - Arrestation de 223 suffragettes à Ottawa
Les policiers procèdent à l'arrestation de 223 suffragettes qui tentent de s'introduire au Parlement, à Ottawa, afin de manifester pour l'obtention du droit de vote des femmes.

Après leur comparution, les femmes seront condamnées à payer une amende ou à passer entre 15 et 30 jours en détention. Elles choisiront toutes la prison. En 1913, des Montréalaises fonderont la Montreal Suffrage Association, organisation dont le but est l'obtention du droit de vote pour les femmes. Les hommes politiques, et une bonne partie de la population, continuent néanmoins de s'opposer au vote des femmes. Le premier ministre manitobain Rodmond Robin résume d'une certaine façon leur position lorsqu'il déclare: «Mettre les femmes sur un pied d'égalité politique avec les hommes causerait des querelles de ménage. La plupart des femmes sont émotives et, si elles pouvaient voter, elles constitueraient un danger plutôt qu'une aide.» [détails]

20 septembre 1917 - Adoption d'une loi fédérale accordant le droit de vote aux femmes
Le gouvernement conservateur de Robert Borden accorde le droit de vote aux femmes qui ont un lien de parenté avec une personne servant, ou ayant servi, dans les forces militaires. Ce droit, que les Québécoises ne peuvent exercer qu'aux élections fédérales, sera étendu le 24 mai 1918 à toutes les femmes âgées de 21 ans et plus.

En 1919, les femmes obtiennent également le droit d'être candidates à la Chambre des communes. Elles devront attendre 1929 pour être admises au Sénat. C'est Agnes Campbell Macphail qui sera la première femme élue à la Chambre, le 6 décembre 1921. Rappelons qu'au Québec, les femmes n'obtiendront le droit de voter aux élections provinciales qu'en 1940. Allan Evans et I.L. Martinello situent ainsi le contexte de l'obtention du droit de vote par les femmes, en 1917: «Lorsque les hommes partirent à la guerre, ce sont les femmes qui prirent leurs places dans les usines (...) Le rôle indispensable que jouèrent les femmes à ce moment-là força la société à changer d'attitude envers elles. Depuis des années, les femmes revendiquaient leurs droits politiques. À cause de la guerre, maintenant pour la première fois, les hommes étaient disposés à écouter.» [détails]

1918 - Admission des femmes à la faculté de médecine de l'Université McGill
Après celle de droit, en 1911, c'est au tour de la faculté de médecine de l'Université McGill d'ouvrir ses portes aux femmes.

Quatre ans plus tard, en 1922, McGill acceptera également des étudiantes en art dentaire. [détails]

1918 - Fondation de la Fédération des femmes canadiennes-françaises en Outaouais
S'inspirant des premiers regroupements féministes qui véhiculent des valeurs familiales et religieuses, la Fédération des femmes canadiennes-françaises (FFCF) est fondée en Outaouais par l'Anglo-canadienne Almanda Walker-Marchand. Cette fédération est soutenue par les femmes appartenant à «l'élite» d'Ottawa et de Hull.

Trois des six paroisses fondatrices de la FFCF sont québécoises. Il s'agit de Hull, Aylmer et Pointe-Gatineau. La Fédération recrute ses membres de chaque côté des rives de l'Outaouais et concentre d'abord son action autour des oeuvres de guerre. Peu à peu, ses activités s'élargiront vers la défense de la langue française et de la religion catholique, les oeuvres de bienfaisance et l'éducation. Siégeant sur plusieurs comités nationaux visant l'amélioration des services de langue française au Canada, la FFCF représentera pendant plusieurs décennies la voix des francophones à l'échelle nationale. [détails]

1919 - Dépôt d'une Loi sur le salaire minimum des femmes
Le gouvernement libéral de Lomer Gouin fait adopter une loi instituant un salaire minimum pour les femmes. Cette loi, qui sera mise en application à partir de 1928, concerne d'abord les secteurs manufacturiers suivants: le textile, la chaussure et le vêtement. Dans les années 1930, la réglementation s'étendra aux établissements commerciaux, dont les hôtels, les clubs et les restaurants.

Les premières applications de la loi touchent 10 189 femmes travaillant dans 39 filatures, 2 304 femmes oeuvrant dans les manufactures de chaussures et 9 510 ouvrières de l'industrie du vêtement. Le salaire minimum pour une ouvrière expérimentée s'établit à 12,50 $ par semaine alors qu'une débutante reçoit en moyenne 8,50 $ hebdomadairement. Malheureusement, les employeurs seront nombreux à trouver des échapatoires à la loi en déclassant une employée expérimentée ou en n'accordant qu'une seule carte de poinçon à deux ouvrières d'une même famille. [détails]

7 février 1920 - Ouverture d'une maison pour femmes à Chicoutimi
Les Soeurs de l'Immaculée-Conception ouvrent une maison à Rivière-du-Moulin pour les femmes désireuses d'entreprendre une retraite fermée.

Les femmes, religieuses ou laïques, peuvent se réfugier dans cette maison pour réfléchir, faire le point sur leur vie ou s'adonner à la prière. [détails]

9 février 1922 - Manifestation de 400 femmes à Québec pour réclamer le suffrage féminin
Un projet de loi sur le suffrage féminin est déposé à l'Assemblée législative du Québec. Il déclenche des protestations virulentes de la part des représentants du clergé.

Parmi les femmes qui participent à la manifestation, on retrouve notamment Marie Gérin-Lajoie et Idola Saint-Jean. En dénonçant ce qu'ils considèrent comme une attaque contre les valeurs traditionnelles, les évêques attirent la sympathie de nombreuses femmes qui s'identifient surtout à leur rôle de mère de famille et qui ne tiennent pas à intervenir dans le processus politique. À cet égard, le cardinal Louis-Nazaire Bégin, évêque de Québec, déclare que «L'entrée des femmes dans la politique, même par le seul suffrage, serait, pour notre province, un malheur. Rien ne le justifie, ni le droit naturel ni l'intérêt social.» Le fondateur du journal «Le Devoir», Henri Bourassa, va encore plus loin, écrivant «l'introduction du féminisme sous sa forme la plus nocive; la femme-électeur qui engendrera bientôt (...) la femme-homme, le monstre hybride et répugnant qui tuera la femme-mère et la femme-femme.» Cette tentative des groupes féministes de faire accepter le vote des femmes restera vaine. [détails]

Septembre 1925 - Admission d'une première femme à la Faculté de médecine de l'Université de Montréal
Marthe Pelland est admise à la Faculté de médecine après plusieurs tentatives de dissuasion de la part des autorités de l'Université de Montréal. Elle recevra son diplôme six ans plus tard, en terminant première de sa promotion.

Afin de dissuader sa candidature, le vice-recteur de l'université envoie une lettre au père de la candidate lui expliquant qu'une présence féminine risque de «troubler le climat social dans la faculté». Marthe Pelland-Alloucherie est la première femme à être admise dans une université francophone au Québec. [détails]

1929 - Création de la Ligue des droits de la femme
La réorganisation du Comité provincial pour le suffrage féminin, fondé en 1928, mène à la création d'un nouvel organisme : la Ligue des droits de la femme. C'est Thérèse Casgrain qui en assumera la présidence.

La Ligue des droits de la femmes sera un mouvement de pression très actif en faveur du vote des femmes. Dès 1929, elle fait parvenir un mémoire à la Commission Dorion chargée d'examiner «des réformes possibles au Code civil qui ont rapport aux régimes matrimoniaux». En 1939, la Ligue appuiera le Parti libéral d'Adélard Godbout qui a déjà manifesté le désir de permettre aux femmes de participer aux prochaines élections provinciales. [détails]

15 février 1930 - Nomination d'une première femme au Sénat
Le premier ministre libéral William Lyon Mackenzie King annonce la nomination d'une première femme au Sénat. Il s'agit de Madame Norman F. Wilson (née Cairine-Rhea Mackay), une native du Québec qui habite en Ontario.

Madame Wilson était présidente honoraire des femmes libérales du Canada. Enseignante à l'Université McGill, elle avait fondé en 1913 le Montreal Suffrage Association, un mouvement militant pour le droit de vote des femmes au niveau fédéral. Rappelons qu'au Québec, les femmes n'obtiendront le droit de vote qu'en 1940. [détails]

25 mars 1931 - Refus par l'Assemblée législative d'accorder le droit de vote aux femmes
Le député libéral Irénée Vautrin dépose un projet de loi proposant une modification à la loi électorale permettant le vote des femmes. Il sera défait à l'Assemblée législative par 47 voix contre 21.

L'argument principal du député Vautrin en faveur du suffrage féminin -«nous sommes les seuls à ne pas laisser voter les femmes»- ne suffit pas à convaincre les députés. Lors du dépôt du projet de loi, Vautrin avait également tenté de démontrer à l'aide de statistiques que les femmes n'ont pas négligé leur droit de vote au fédéral, droit qu'elles exercent depuis plus d'une dizaine d'années. [détails]





Et voici comment Simone travaillait ses réflexions avant de les émetter


En conclusion

Chaque fois que nous prenons position, si nous voulons ancrer celle-ci solidement, nous devons tenir compte des 5 types d'arguments philosophiques suivants et analyser le pour et le contre. Sinon, notre position risque d'être considérée comme une opinion sans valeur.

Argument

Je suis POUR

Je suis CONTRE

Technique

(efficacité)

Ça sert, ça marche, ça fonctionne, c'est utile, efficace, performant, réalisable.

C'est inutile, inefficace, inadapté, nuisible, dépassé, impossible.

Économique

(rentabilité)

C'est gratuit, économique, rentable, du meilleur coût, bon rapport qualité-prix, temps-argent.

Trop cher, coûteux, d'un mauvais rapport effort-résultat.

Éthique

(bonté)

C'est bien, vrai, moral, correct, légitime, légal, raisonnable, un droit, un devoir, une vertu, une sagesse.

Mal, faux, illégitime, illégal, irrespectueux, injuste, inégalitaire, dominateur, exploiteur, aliénant, égoïste, péché, infraction, agression.

Logique

(sens)

C'est logique, cohérent, rationnel, prouvé, démontré, vérifié, compatible.

Illogique, incohérent, contradictoire, indémontrable, invérifiable, hypothétique, imaginaire, illusoire.

Esthétique

(beauté)

C'est beau, agréable, plaisant, alléchant, délicieux, confortable, harmonieux, élégant, propre, doux.

Laid, désagréable, déplaisant, dégoûtant, répugnant, inconfortable, cacophonique, disgracieux, sale.


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